D’une longueur de 544 m sur une largeur de 40 m, l’infrastructure coûtera 36 milliards de Fcfa (TTC), tandis que la réalisation des voies d’accès est estimée à environ 19 milliards de FCFA (TTC). Le tout est financé sur le budget national pour une durée de 24 mois de travaux, hors saison de pluie. Au terme de sa visite, le président de la République a affirmé que c’est un truisme de dire que sans désenclavement, il n’y a pas d’espoir de développement, regrettant que jusqu’ici Kayes n’ait eu qu’un pont, lequel est saturé et a besoin d’être réhabilité.
Le chef de l’Etat a ajouté que le nouveau pont, très attendu, sera d’une nouvelle génération, parce que plus large, plus adapté aux mouvements des hommes et des biens. « Je crois que vu l’importance du trafic entre le Sénégal et le Mali, et que de plus en plus, la route a pris pratiquement le pas sur les chemins de fer, il fallait accompagner cela. Ce deuxième pont était devenu une exigence économique et humaine », a-t-il déclaré, ajoutant que c’est vraiment un espoir de mieux être encore, de pouvoir d’achat en hausse pour les populations. Toutes choses qui lui sont très chères.
« L’action politique n’a de sens que lorsqu’elle contribue à améliorer le quotidien des populations pour lesquelles on travaille. Ce pont va être cet instrument d’appui à nos efforts de promotion et de développement de la région de Kayes », a poursuivi Ibrahim Boubacar Kéïta.
Il a aussi noté que cette infrastructure donnera directement accès à l’abattoir moderne de Kayes qui est d’une modernité exemplaire avec de bonnes capacités d’abattage et de conditionnement. « Tout cela préfigure notre développement agro industriel de demain et tout le potentiel de cette région et qui sera soutenu par cette voie d’accès », s’est-il réjoui.
Mahamane Maïga
Le chef de l’Etat a ajouté que le nouveau pont, très attendu, sera d’une nouvelle génération, parce que plus large, plus adapté aux mouvements des hommes et des biens. « Je crois que vu l’importance du trafic entre le Sénégal et le Mali, et que de plus en plus, la route a pris pratiquement le pas sur les chemins de fer, il fallait accompagner cela. Ce deuxième pont était devenu une exigence économique et humaine », a-t-il déclaré, ajoutant que c’est vraiment un espoir de mieux être encore, de pouvoir d’achat en hausse pour les populations. Toutes choses qui lui sont très chères.
« L’action politique n’a de sens que lorsqu’elle contribue à améliorer le quotidien des populations pour lesquelles on travaille. Ce pont va être cet instrument d’appui à nos efforts de promotion et de développement de la région de Kayes », a poursuivi Ibrahim Boubacar Kéïta.
Il a aussi noté que cette infrastructure donnera directement accès à l’abattoir moderne de Kayes qui est d’une modernité exemplaire avec de bonnes capacités d’abattage et de conditionnement. « Tout cela préfigure notre développement agro industriel de demain et tout le potentiel de cette région et qui sera soutenu par cette voie d’accès », s’est-il réjoui.
Mahamane Maïga