Dans son allocution d’ouverture, le président de l’Abca s’est dit « heureux d’annoncer que 18 des 22 décisions ont été mises en œuvre ». À fin 2023, Dr Denny H. Kalyalya a ajouté que le nombre de pays qui répondaient aux critères de convergence s’est établi à 11 contre 06 en 2022.
Selon lui cela est « encourageant compte tenu des nombreux défis mondiaux, régionaux et nationaux ». Il a énuméré, parmi lesdits défis les incertitudes liées à la croissance mondiale, les chocs défavorables persistants et fréquents liés au changement climatique ainsi que les tensions géopolitiques persistantes et croissantes et l’endettement public.
Toutefois, a-t-il dit, « nous devons continuer à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour faire avancer notre programme de convergence macroéconomique, en particulier l’intégration monétaire ».
Il a également noté les progrès qu’ils ont accompli dans le cadre de la mise en œuvre d’une infrastructure du système de paiement panafricain et aussi dans le renforcement des capacités en matière de supervision bancaire transfrontalière, de réglementation Bâle et de gestion de crise, de résolution bancaire et de FinTech.
A l’en croire, il est aussi important de noter que beaucoup de travail a été accompli dans le cadre de la Communauté des superviseurs bancaires africains (Csba) pour atteindre l’objectif d’une supervision bancaire transfrontalière sur le continent africain.
Il s’agit notamment, selon lui, de finaliser le Protocole d’accord multilatéral (Pam), de désigner des points focaux pour coordonner les activités intégrées dans ledit Pam et de concevoir un modèle de partage de données. En ce sens, il a exhorté toutes les banques centrales qui n’ont pas encore signé ce Pam à le faire diligemment, car, a-t-il soutenu, cela nous permettra de partager des informations essentielles dans l’objectif de mieux protéger le secteur financier afin qu’il joue efficacement son rôle d’intermédiation.
Dans le domaine des systèmes de paiement, Denny H. Kalyalya a confié que des progrès significatifs, basés sur des normes internationales rigoureuses, ont été accomplis avec la définition des critères de sélection de pays hôte des Infrastructures de marchés financiers d’importance systémique (Imfis).
D’après le président de l’Abca, « la réalisation de cette tâche constituera une étape majeure dans l’intégration des systèmes de paiement nationaux et régionaux segmentés, ce qui est essentiel pour renforcer le commerce intra-africain qui est actuellement le plus bas au monde ».
Pour M. Kalyalya, une fois les diverses initiatives qu’ils entreprennent seront pleinement mises en œuvre et opérationnalisées à l’échelle du continent, elles joueront un rôle essentiel dans la libération du potentiel des économies africaines et l’augmentation du volume des échanges commerciaux entre les pays du continent. Enfin, il fait savoir que « cela contribuera également à la croissance de nos économies, au renforcement de la résilience face aux divers chocs et, en fin de compte, à l’amélioration des conditions de vie et des moyens de subsistance de nos populations ».
Bassirou MBAYE
Selon lui cela est « encourageant compte tenu des nombreux défis mondiaux, régionaux et nationaux ». Il a énuméré, parmi lesdits défis les incertitudes liées à la croissance mondiale, les chocs défavorables persistants et fréquents liés au changement climatique ainsi que les tensions géopolitiques persistantes et croissantes et l’endettement public.
Toutefois, a-t-il dit, « nous devons continuer à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour faire avancer notre programme de convergence macroéconomique, en particulier l’intégration monétaire ».
Il a également noté les progrès qu’ils ont accompli dans le cadre de la mise en œuvre d’une infrastructure du système de paiement panafricain et aussi dans le renforcement des capacités en matière de supervision bancaire transfrontalière, de réglementation Bâle et de gestion de crise, de résolution bancaire et de FinTech.
A l’en croire, il est aussi important de noter que beaucoup de travail a été accompli dans le cadre de la Communauté des superviseurs bancaires africains (Csba) pour atteindre l’objectif d’une supervision bancaire transfrontalière sur le continent africain.
Il s’agit notamment, selon lui, de finaliser le Protocole d’accord multilatéral (Pam), de désigner des points focaux pour coordonner les activités intégrées dans ledit Pam et de concevoir un modèle de partage de données. En ce sens, il a exhorté toutes les banques centrales qui n’ont pas encore signé ce Pam à le faire diligemment, car, a-t-il soutenu, cela nous permettra de partager des informations essentielles dans l’objectif de mieux protéger le secteur financier afin qu’il joue efficacement son rôle d’intermédiation.
Dans le domaine des systèmes de paiement, Denny H. Kalyalya a confié que des progrès significatifs, basés sur des normes internationales rigoureuses, ont été accomplis avec la définition des critères de sélection de pays hôte des Infrastructures de marchés financiers d’importance systémique (Imfis).
D’après le président de l’Abca, « la réalisation de cette tâche constituera une étape majeure dans l’intégration des systèmes de paiement nationaux et régionaux segmentés, ce qui est essentiel pour renforcer le commerce intra-africain qui est actuellement le plus bas au monde ».
Pour M. Kalyalya, une fois les diverses initiatives qu’ils entreprennent seront pleinement mises en œuvre et opérationnalisées à l’échelle du continent, elles joueront un rôle essentiel dans la libération du potentiel des économies africaines et l’augmentation du volume des échanges commerciaux entre les pays du continent. Enfin, il fait savoir que « cela contribuera également à la croissance de nos économies, au renforcement de la résilience face aux divers chocs et, en fin de compte, à l’amélioration des conditions de vie et des moyens de subsistance de nos populations ».
Bassirou MBAYE