L’Association du transport aérien international veut l’établissement des partenariats avec l’industrie du transport aérien pour élaborer des plans visant à reconnecter de façon sécuritaire les gens, les entreprises et les économies. C’est du moins ce qu’elle demande auprès des gouvernements. En effet, « nous pouvons voir la lumière au bout du tunnel à mesure que les programmes de vaccination sont déployés », confie le directeur général de l’Iata.
Alexandre de Juniac indique dans la foulée que pour que cette vision se transforme en redémarrage sûr et ordonné, il faut une planification et une coordination minutieuses de la part des gouvernements et de l’industrie. A l’en croire, cela représente un défi alors que la priorité pour les semaines et les mois à venir sera d’endiguer la propagation des nouveaux variants. Mais, défend M. de Juniac, même avec l’aggravation de la crise, il est important de préparer la reprise des vols lorsque la situation épidémiologique le permettra.
Pour lui, la compréhension des critères politiques des gouvernements et l’adoption des normes mondiales nécessaires au retour à la normale dans le domaine des voyages feront en sorte que le transport aérien soit bien préparé et qu’il ne devienne pas un vecteur considérable de réimportation.
En ce sens, dit-il, les compagnies aériennes sont disposées à soutenir les gouvernements dans cette tâche.
« Lorsque les gouvernements s’emploieront à rétablir la connectivité aérienne mondiale, l’Iata sera prête à former avec eux des partenariats afin de favoriser une approche uniforme, efficiente et efficace à l’échelle mondiale », s’engage le directeur général de l’association qui regroupe quelque 290 compagnies aériennes qui assurent 82 % du trafic aérien mondial.
Bassirou MBAYE
Alexandre de Juniac indique dans la foulée que pour que cette vision se transforme en redémarrage sûr et ordonné, il faut une planification et une coordination minutieuses de la part des gouvernements et de l’industrie. A l’en croire, cela représente un défi alors que la priorité pour les semaines et les mois à venir sera d’endiguer la propagation des nouveaux variants. Mais, défend M. de Juniac, même avec l’aggravation de la crise, il est important de préparer la reprise des vols lorsque la situation épidémiologique le permettra.
Pour lui, la compréhension des critères politiques des gouvernements et l’adoption des normes mondiales nécessaires au retour à la normale dans le domaine des voyages feront en sorte que le transport aérien soit bien préparé et qu’il ne devienne pas un vecteur considérable de réimportation.
En ce sens, dit-il, les compagnies aériennes sont disposées à soutenir les gouvernements dans cette tâche.
« Lorsque les gouvernements s’emploieront à rétablir la connectivité aérienne mondiale, l’Iata sera prête à former avec eux des partenariats afin de favoriser une approche uniforme, efficiente et efficace à l’échelle mondiale », s’engage le directeur général de l’association qui regroupe quelque 290 compagnies aériennes qui assurent 82 % du trafic aérien mondial.
Bassirou MBAYE