Ce nouveau tronçon Ouo-Bankass-Koro a coûté 14.2 milliards de F CFA. Les travaux ont été financés par la BOAD à hauteur de 9.5 milliards soit 66.58%, la BID à 3 milliards, l’Uemoa 1,1milliard. Le Mali à travers le budget national a contribué à hauteur d’environ 642 millions de FCFA.
La ministre de l’Equipement et du Désenclavement a situé le contexte de cette route inaugurée. « Bandiagara-Ouo-Bankass-Koro-Frontière du Burkina Faso distant de 159 km s’inscrit dans le cadre du premier Programme d’actions prioritaires de l’autorité du développement intégré du Liptako-Gourma et du Programme d’actions communautaires des infrastructures et du transport routier adopté par les États membres de l’Uemoa en septembre 2001 à Dakar au Sénégal », a indiqué Mme Traoré Seynabou Diop.
Selon elle, « la mise en service de cette route contribuera, entre autres, à promouvoir et développer les activités industrielles, agricoles et pastorales, d’améliorer la sécurité routière et la fluidité du transport, à réduire le taux des accidents de la circulation et le coût du transport des produits notamment le poisson ainsi que l’évacuation sanitaire, etc. ».
Consciente de l’état de dégradation des routes dans notre pays, Mme Traoré Zeynabou Diop a invité les usagers (transporteurs) à respecter les normes en vigueur notamment respect la charge à l’essieu car, dit-elle « l’ennemi N 1 de la route reste et demeure la surcharge ». En témoigne le cas du tronçon Bamako-Kayes qui est présentement dans un mauvais état par endroits.
La ministre de l’Equipement et du Désenclavement a situé le contexte de cette route inaugurée. « Bandiagara-Ouo-Bankass-Koro-Frontière du Burkina Faso distant de 159 km s’inscrit dans le cadre du premier Programme d’actions prioritaires de l’autorité du développement intégré du Liptako-Gourma et du Programme d’actions communautaires des infrastructures et du transport routier adopté par les États membres de l’Uemoa en septembre 2001 à Dakar au Sénégal », a indiqué Mme Traoré Seynabou Diop.
Selon elle, « la mise en service de cette route contribuera, entre autres, à promouvoir et développer les activités industrielles, agricoles et pastorales, d’améliorer la sécurité routière et la fluidité du transport, à réduire le taux des accidents de la circulation et le coût du transport des produits notamment le poisson ainsi que l’évacuation sanitaire, etc. ».
Consciente de l’état de dégradation des routes dans notre pays, Mme Traoré Zeynabou Diop a invité les usagers (transporteurs) à respecter les normes en vigueur notamment respect la charge à l’essieu car, dit-elle « l’ennemi N 1 de la route reste et demeure la surcharge ». En témoigne le cas du tronçon Bamako-Kayes qui est présentement dans un mauvais état par endroits.