Le Secrétaire général du ministère des Mines a remercié l'ensemble des parties prenantes à l'ITIE et dont les contributions ont permis à notre pays d'obtenir des résultats significatifs à l'issue de sa validation du 24 mai 2017. Celle-ci a conclu le Mali comme pays conforme, c'est-à-dire qui respecte les normes ITIE.
Ce rapport a été largement diffusé auprès de la population dans les zones d'extraction. Cependant, l'évaluation a souligné 14 mesures correctives à effectuer par le Mali d'ici à la prochaine évaluation prévue en novembre 2018.
Après les résultats significatifs de 2017, la Secrétaire permanente de ITIE Mali, Mme Fatoumata Traoré indique que le Mali a été bien noté car malgré le contexte sécuritaire difficile, il a fourni beaucoup d'efforts dans le respect des normes de transparence dans les industries extractives.
Ainsi, le Secrétariat permanent, l'organe d'exécution des orientations du plan de travail, a mené diverses activités de formation, de sensibilisation, d'information, de diffusion auprès des populations des rapports et a élaboré un plan de communication. Il a aussi pris part à certaines grandes rencontres de l'ITIE à Jakarta et au Cameroun.
Ccette année, tout devra être mis en œuvre pour maintenir le flambeau. Selon Madame Traoré , les activités du plan de travail de cette année seront bâties sur huit exigences dont la gouvernance, le cadre légal et réglementaire en faisant en sorte que ITIE soit prise en compte dans le Code minier en cours de révision. Ce qui, aux dires de la Secrétaire permanente, imposera aux sociétés extractives et à l'administration publique de donner régulièrement des informations sur les flux financiers liés au secteur extractif et à la société civile de jouer pleinement son rôle de veille pour conscientiser la population locale et veiller au respect des normes ITIE.
Il faut souligner que le Comité de pilotage, qui détermine les directives du Secrétariat permanent, est chapeauté par un comité de supervision présidé par le premier ministre. Le budget prévisionnel de la mise en œuvre du plan de travail 2018 est de l'ordre de 400 millions de FCFA.
Ibrahim Youssef
Ce rapport a été largement diffusé auprès de la population dans les zones d'extraction. Cependant, l'évaluation a souligné 14 mesures correctives à effectuer par le Mali d'ici à la prochaine évaluation prévue en novembre 2018.
Après les résultats significatifs de 2017, la Secrétaire permanente de ITIE Mali, Mme Fatoumata Traoré indique que le Mali a été bien noté car malgré le contexte sécuritaire difficile, il a fourni beaucoup d'efforts dans le respect des normes de transparence dans les industries extractives.
Ainsi, le Secrétariat permanent, l'organe d'exécution des orientations du plan de travail, a mené diverses activités de formation, de sensibilisation, d'information, de diffusion auprès des populations des rapports et a élaboré un plan de communication. Il a aussi pris part à certaines grandes rencontres de l'ITIE à Jakarta et au Cameroun.
Ccette année, tout devra être mis en œuvre pour maintenir le flambeau. Selon Madame Traoré , les activités du plan de travail de cette année seront bâties sur huit exigences dont la gouvernance, le cadre légal et réglementaire en faisant en sorte que ITIE soit prise en compte dans le Code minier en cours de révision. Ce qui, aux dires de la Secrétaire permanente, imposera aux sociétés extractives et à l'administration publique de donner régulièrement des informations sur les flux financiers liés au secteur extractif et à la société civile de jouer pleinement son rôle de veille pour conscientiser la population locale et veiller au respect des normes ITIE.
Il faut souligner que le Comité de pilotage, qui détermine les directives du Secrétariat permanent, est chapeauté par un comité de supervision présidé par le premier ministre. Le budget prévisionnel de la mise en œuvre du plan de travail 2018 est de l'ordre de 400 millions de FCFA.
Ibrahim Youssef