Le ministère des Mines et du Pétrole compte sur les professionnels du secteur pour davantage hisser et maintenir le secteur minier malien au rang de premier secteur de l’économie nationale. Dans ce domaine, le Mali a enregistré ses meilleures performances économiques au cours des 20 dernières années. L’on a indiqué : « Avec en moyenne 35% des recettes budgétaires, les miniers représentent aujourd’hui plus de 70% des exploitations du Mali en valeur absolue et plus de 8% de PIB ».
En dépit de ces performances, des reformes doivent être menées. Pour ce faire, le département des Mines et du Pétrole envisage d’élaborer un code minier attractif pour l’investisseur tout en permettant la poursuite par l’Etat et les collectivités des objectifs de développement. Lesquels sont définis dans le programme du président Ibrahim Boubacar Keita et dans la déclaration de politique générale du Premier ministre.
L’activité minière est par essence une entreprise de très longue haleine, nécessitant des investissements lourds et une législation adaptée aux besoins des acteurs du secteur. «Les nouveaux textes régissant la Chambre des Mines du Mali ont été adoptés par le gouvernement. Tout au long de cette relecture, nous nous sommes efforcés de prendre en compte et d’intégrer les avis et les suggestions des acteurs que vous êtes. Nous avons voulu avoir des textes adaptés à nos réalités certes, mais aussi des textes intégrant la donne régionale et sous régionale du secteur minier africain », confie le ministère des Mines et du Pétrole. Avant de réitérer sa détermination à accompagner les acteurs du secteur minier pour revitaliser l’activité minière nationale.
En juillet 2019, le Mali accueillera à Bamako, la réunion du Conseil exécutif et celle de l’Assemblée générale de la fédération des Chambres des mines de la CEDEAO (EFEDCOM).
Mahamane Maïga
En dépit de ces performances, des reformes doivent être menées. Pour ce faire, le département des Mines et du Pétrole envisage d’élaborer un code minier attractif pour l’investisseur tout en permettant la poursuite par l’Etat et les collectivités des objectifs de développement. Lesquels sont définis dans le programme du président Ibrahim Boubacar Keita et dans la déclaration de politique générale du Premier ministre.
L’activité minière est par essence une entreprise de très longue haleine, nécessitant des investissements lourds et une législation adaptée aux besoins des acteurs du secteur. «Les nouveaux textes régissant la Chambre des Mines du Mali ont été adoptés par le gouvernement. Tout au long de cette relecture, nous nous sommes efforcés de prendre en compte et d’intégrer les avis et les suggestions des acteurs que vous êtes. Nous avons voulu avoir des textes adaptés à nos réalités certes, mais aussi des textes intégrant la donne régionale et sous régionale du secteur minier africain », confie le ministère des Mines et du Pétrole. Avant de réitérer sa détermination à accompagner les acteurs du secteur minier pour revitaliser l’activité minière nationale.
En juillet 2019, le Mali accueillera à Bamako, la réunion du Conseil exécutif et celle de l’Assemblée générale de la fédération des Chambres des mines de la CEDEAO (EFEDCOM).
Mahamane Maïga