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Train Dakar -Bamako : Le groupement syndical des cheminots attend toujours l’aide budgétaire de 4,6 milliards pour le service voyageur

Jeudi 19 Avril 2018

Dans le souci de préserver le chemin de fer et assurer un meilleur cadre de vie des cheminots, les responsables du Groupement des associations et syndicats des cheminots du Mali (GSACM) ont organisé un point de presse le mardi dernier à Bamako. C’était sous la présidence du coordinateur Mahamane Thienta ; en présence du président de la corporation des conducteurs de trains, Modibo Sidibé et plusieurs membres du groupement.


Selon le coordinateur du GSACM,  la réunion des experts des deux Etats en date du 06 décembre 2015  a décidé  « la prise en charge du personnel pendant 06 mois, ce délai pourrait être prorogé au besoin compte tenu des aléas liés au temps nécessaire pour la commande et la disponibilité des pièces de rechange ainsi que la réalisation des travaux de réhabilitation de la voie.
Il a fait également référence à la notification de la résiliation de la convention signée des ministres de l’Economie et des Finances et des ministres des Transports des deux Etats. Lequel document indique « les conséquences découlant de la résiliation de la convention de concession seront convenues et gérées sous forme d’accord entre parties pour prendre en compte l’intérêt des travailleurs ».
 S’ajoute  la lettre n°OO644/MEF-SG, 03488/MEF SG, 04726/MEF- SG sur l’inexistence de crédit budgétaire. On  demande à ce que les ressources de la société prennent en charge les dits salaires.
Selon Mahamane Thienta,  le communiqué verbal du conseil des ministres en date du 31 mai 2017 promettait une aide budgétaire de 4,6 milliards pour le service voyageur. Cela n’a pas été honoré au moment où le train voyageur circule avec une seule locomotive. Avec  ce train,  nous n’avons même pas les moyens de secourir les passagers en cas de détresse (panne).
Face à cette situation, les responsables du GSACM lance un appel au ministre des Transports et du Désenclavement en ces termes : « Nous sommes des maliens au même titre que ceux de Kidal, Tombouctou, Taoudéni, Gao. Nous ne voulons pas battre le pavé car le Mali a besoin de paix,  de stabilité et de dialogue ».
 Mahamane Maïga


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