Présidée par la ministre de l’Elevage et de la Pêche, Mme Kané Rokia Maguiraga, la 3è session du conseil d’administration du Centre d’insémination artificielle animale (CNIA) a noté la présence du directeur général dudit centre, Pr Diakaridia Traoré, des administrateurs et des collaborateurs.
La ministre en charge de l’Elevage a rappelé que l’insémination artificielle reste une priorité de son département, car elle contribue de façon significative au développement des filières lait et viande, par conséquent du sous-secteur élevage et donc à la croissance économique du Mali. Ainsi, le gouvernement, à travers le budget spécial d’investissements, a décidé de doter le CNIA d’infrastructures modernes afin de lui permettre de mieux répondre aux défis liés à la question d’insémination.
Pour l’année 2019, les perspectives s’annoncent bonnes pour le Centre. La poursuite des travaux de construction du siège du CNIA, l’amplification du programme d’insémination artificielle caprine au profit des associations féminines et des jeunes ruraux, la formation de nouveaux agents d’élevage en insémination artificielle ainsi que le recyclage des anciens et la poursuite des activités d’information, de sensibilisation et de formation des agro-éleveurs sur la gestion des troupeaux d’insémination sont des activités phares qui seront menée en 2019. Un budget de 1,6 milliard FCFA adopté par les administrateurs doit permettre au CNIA d’atteindre les objectifs assignés pour 2019.
En 2015, le CNIA est né de la volonté du gouvernement de faire du sous-secteur élevage un levier du développement socio-économique qui contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations.
Le Centre a pour objet d’améliorer les productions animales par l’utilisation de la technique d’insémination artificielle. Il a pour objectifs de rendre les services de l’insémination accessible au plus grand nombre d’éleveurs, d’organiser les éleveurs autour des programmes d’amélioration génétique, de productions (lait et viande) et de conservation des races autochtones.
Le CNIA vise également l’amélioration de la production laitière des vaches par la sélection et le croisement, les revenus des producteurs par l’augmentation de la production de lait et de viande et surtout de réduire la facture d’importation de lait et produits laitiers.
Mahamane Maïga
La ministre en charge de l’Elevage a rappelé que l’insémination artificielle reste une priorité de son département, car elle contribue de façon significative au développement des filières lait et viande, par conséquent du sous-secteur élevage et donc à la croissance économique du Mali. Ainsi, le gouvernement, à travers le budget spécial d’investissements, a décidé de doter le CNIA d’infrastructures modernes afin de lui permettre de mieux répondre aux défis liés à la question d’insémination.
Pour l’année 2019, les perspectives s’annoncent bonnes pour le Centre. La poursuite des travaux de construction du siège du CNIA, l’amplification du programme d’insémination artificielle caprine au profit des associations féminines et des jeunes ruraux, la formation de nouveaux agents d’élevage en insémination artificielle ainsi que le recyclage des anciens et la poursuite des activités d’information, de sensibilisation et de formation des agro-éleveurs sur la gestion des troupeaux d’insémination sont des activités phares qui seront menée en 2019. Un budget de 1,6 milliard FCFA adopté par les administrateurs doit permettre au CNIA d’atteindre les objectifs assignés pour 2019.
En 2015, le CNIA est né de la volonté du gouvernement de faire du sous-secteur élevage un levier du développement socio-économique qui contribue à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations.
Le Centre a pour objet d’améliorer les productions animales par l’utilisation de la technique d’insémination artificielle. Il a pour objectifs de rendre les services de l’insémination accessible au plus grand nombre d’éleveurs, d’organiser les éleveurs autour des programmes d’amélioration génétique, de productions (lait et viande) et de conservation des races autochtones.
Le CNIA vise également l’amélioration de la production laitière des vaches par la sélection et le croisement, les revenus des producteurs par l’augmentation de la production de lait et de viande et surtout de réduire la facture d’importation de lait et produits laitiers.
Mahamane Maïga