Ouverture hier, de l’atelier régional de validation du projet «Promotion de l’agriculture de conservation en Afrique de l’Ouest et du Centre (Promaca). Une occasion pour la Fao de s’engager à soutenir le Conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricoles (Coraf) dans sa politique de promotion d’une agriculture de conservation en vue de faire face aux extrêmes climatiques.
L’annonce a été faite par Joseph Mpagalile, chargé de la mécanisation durable à la Fao. Il a précisé que la proposition de soutien pour ce projet sera soum is aux bailleurs car la Fao n’est pas un donateur mais travaille avec des organisateurs comme le Coraf pour trouver des agences de financements pouvant soutenir ce genre de projet. Selon M. Mpagalile, la Fao et le Coraf, deux partenaires de la recherche et développement agricole en Afrique de l’Ouest, sont en train d’étudier les possibilités de renforcer leur collaboration afin de résoudre les défis climatiques les plus complexes au Sahel.
Il a ajouté qu’une réunion tenue au début de ce mois, a conclu que les problèmes de la dégradation des terres et de la migration peuvent être résolus grâce à la recherche et l’innovation. «Dans le contexte des changements climatiques, nous sommes à la recherche de technologies pour permettre à nos producteurs de produire sans difficultés.
L’agriculture de conservation est une des ces techniques permettant de gérer l’eau à la parcelle », a déclaré Niéyidouba Lamien, coordonnateur régional du Programme de productivité agricole en Afrique de l’ouest (Ppaao). Parlant au nom du directeur exécutif du Coraf, Il a expliqué que cette technique, permet de garder l’eau sur la parcelle parce que sa particularité est d’avoir beaucoup plus de matières organiques dans le sol couvert lequel minimise l’évaporation de peu d’eau recueillie à travers la pluie.
«C’est cette technique que nous voulons proposer à nos producteurs pour qu’ils soient plus résilients par rapport aux effets du changement climatique », a-t-il dit.
Représentant le directeur exécutif du Coraf, il a indiqué que les effets dévastateurs du réchauffement climatique continuent de s’aggraver pour les familles agricoles à faible revenu qui dépendent de l’agriculture pluviale.
«C’est une priorité et nos efforts de coordination viseront en outre à identifier et à partager des technologies, des innovations et des approches pour renforcer ces communautés vulnérables », a souligné M. Lamien. «Nous trouvons que c’est une technologie que nous devons proposer à nos producteurs. En sus, de la maitrise de l’eau, l’agriculture de conservation demande également une dose de mécanisation et des semences améliorées », a relevé le coordonnateur du Ppaao.
Adou FAYE
L’annonce a été faite par Joseph Mpagalile, chargé de la mécanisation durable à la Fao. Il a précisé que la proposition de soutien pour ce projet sera soum is aux bailleurs car la Fao n’est pas un donateur mais travaille avec des organisateurs comme le Coraf pour trouver des agences de financements pouvant soutenir ce genre de projet. Selon M. Mpagalile, la Fao et le Coraf, deux partenaires de la recherche et développement agricole en Afrique de l’Ouest, sont en train d’étudier les possibilités de renforcer leur collaboration afin de résoudre les défis climatiques les plus complexes au Sahel.
Il a ajouté qu’une réunion tenue au début de ce mois, a conclu que les problèmes de la dégradation des terres et de la migration peuvent être résolus grâce à la recherche et l’innovation. «Dans le contexte des changements climatiques, nous sommes à la recherche de technologies pour permettre à nos producteurs de produire sans difficultés.
L’agriculture de conservation est une des ces techniques permettant de gérer l’eau à la parcelle », a déclaré Niéyidouba Lamien, coordonnateur régional du Programme de productivité agricole en Afrique de l’ouest (Ppaao). Parlant au nom du directeur exécutif du Coraf, Il a expliqué que cette technique, permet de garder l’eau sur la parcelle parce que sa particularité est d’avoir beaucoup plus de matières organiques dans le sol couvert lequel minimise l’évaporation de peu d’eau recueillie à travers la pluie.
«C’est cette technique que nous voulons proposer à nos producteurs pour qu’ils soient plus résilients par rapport aux effets du changement climatique », a-t-il dit.
Représentant le directeur exécutif du Coraf, il a indiqué que les effets dévastateurs du réchauffement climatique continuent de s’aggraver pour les familles agricoles à faible revenu qui dépendent de l’agriculture pluviale.
«C’est une priorité et nos efforts de coordination viseront en outre à identifier et à partager des technologies, des innovations et des approches pour renforcer ces communautés vulnérables », a souligné M. Lamien. «Nous trouvons que c’est une technologie que nous devons proposer à nos producteurs. En sus, de la maitrise de l’eau, l’agriculture de conservation demande également une dose de mécanisation et des semences améliorées », a relevé le coordonnateur du Ppaao.
Adou FAYE