Porté désormais par le ministre des Mines, le projet vise à transformer et à «valoriser l’ensemble des richesses minières du pays», voire à ressusciter un secteur minier à très fort potentiel. Sur ce dossier, l’Exécutif veut aller rapidement.
Le gouvernement est sur le point de relancer l’industrie des mines, une mesure phare de la feuille de route du ministre des Mines, Pr. Tiémoko Sangaré. Il semble disposer d’une cartographie des régions à fort potentiel, voire des matières et des minerais qui feront l’objet d’exploitation dans les années à venir. Il s’agit, entre autres, du fer, du phosphate, de l’or, du plomb, du zinc, des matières utiles à l’industrie et des pierres décoratives.
Le développement du secteur minier, réclamé de longue date par les opérateurs et les spécialistes, permettra à la fois de libérer l’investissement et de dégager des volumes à l’exportation, à l’heure où les recettes tirées de la commercialisation du coton se rétrécissent.
Le département semble disposer aussi d’indices prometteurs sur le potentiel en terres rares et autres matières. Cependant, les services du ministère des Mines confirment qu’un plan spécifique est dédié à développer à très court terme l’industrie du phosphate et des engrais, dont le retour sur investissement est prévu dans les quelques mois à venir.
Selon des chiffres du ministère des Mines, le sous-sol malien dispose d’importantes quantités d’or. La production annuelle d’or pourrait atteindre 10 millions de tonnes par an compte tenu des gisements importants dont dispose le Mali. Le Mali, qui est 3e producteur d’or en Afrique, envisage de faire grimper sa production et bousculer ainsi les colosses de l’Afrique (Afrique du Sud et Ghana) de l’industrie aurifère.
Le gouvernement est sur le point de relancer l’industrie des mines, une mesure phare de la feuille de route du ministre des Mines, Pr. Tiémoko Sangaré. Il semble disposer d’une cartographie des régions à fort potentiel, voire des matières et des minerais qui feront l’objet d’exploitation dans les années à venir. Il s’agit, entre autres, du fer, du phosphate, de l’or, du plomb, du zinc, des matières utiles à l’industrie et des pierres décoratives.
Le développement du secteur minier, réclamé de longue date par les opérateurs et les spécialistes, permettra à la fois de libérer l’investissement et de dégager des volumes à l’exportation, à l’heure où les recettes tirées de la commercialisation du coton se rétrécissent.
Le département semble disposer aussi d’indices prometteurs sur le potentiel en terres rares et autres matières. Cependant, les services du ministère des Mines confirment qu’un plan spécifique est dédié à développer à très court terme l’industrie du phosphate et des engrais, dont le retour sur investissement est prévu dans les quelques mois à venir.
Selon des chiffres du ministère des Mines, le sous-sol malien dispose d’importantes quantités d’or. La production annuelle d’or pourrait atteindre 10 millions de tonnes par an compte tenu des gisements importants dont dispose le Mali. Le Mali, qui est 3e producteur d’or en Afrique, envisage de faire grimper sa production et bousculer ainsi les colosses de l’Afrique (Afrique du Sud et Ghana) de l’industrie aurifère.