Cette session s’inscrit dans le cadre du processus de validation du Mali. Ce qui a vu son couronnement le 24 mai 2017. Ainsi, le Conseil d’administration de l’ITIE-Mali a reconnu que le Mali a fait des progrès significatifs dans la mise en œuvre de cette norme internationale.
Au cours de cette 2ème session, les membres du Comité de pilotage ont mené des échanges fructueux autour des enjeux fondamentaux pour le maintien du Mali comme pays conforme.
En effet, le Mali fait partie du cercle restreint des pays qui ont toujours pu garder le statut de pays conforme, c’est-à-dire respectant les 08 exigences de la Norme ITIE 2016. Cela doit être encouragé mais aussi nous inciter à redoubler d’efforts pour consolider nos acquis, dira le représentant du ministre des Mines et du Pétrole, M. Diango Mady Coulibaly.
Il se trouve que de 2006 à nos jours, le Mali a déjà publié et disséminé dix rapports de réconciliation des flux financiers générés par le secteur extractif. Aujourd’hui, grâce à la mise en œuvre de l’ITIE, des informations importantes et capitales sur le secteur minier ont pu être divulgué au grand public et débattu tant au niveau central qu’au niveau des collectivités locales et des sites miniers.
« Le processus ITIE au Mali est la conjugaison des efforts et de l’engagement de tout un chacun pour renforcer nos acquis et corriger nos insuffisances. Je reste convaincu que cet engagement ne fera pas défaut » a dit M. Diango Mady Coulibaly.
Dans le rapport ITIE 2015 publié en 2017, le Mali répondait aux principes et aux exigences de cette Norme internationale. En mai 2017, le Mali a été encouragé à mettre rapidement en œuvre des mesures correctives relatives à la gouvernance du Groupe multipartite (Comité de pilotage) ; à la collecte et à la gestion des revenus issus du secteur extractif et à l’exhaustivité et la fiabilité des données. En 2017, ce dernier indicateur a atteint 71% pour la 1ère fois par l’ITIE Mali.
Mahamane Maïga
Au cours de cette 2ème session, les membres du Comité de pilotage ont mené des échanges fructueux autour des enjeux fondamentaux pour le maintien du Mali comme pays conforme.
En effet, le Mali fait partie du cercle restreint des pays qui ont toujours pu garder le statut de pays conforme, c’est-à-dire respectant les 08 exigences de la Norme ITIE 2016. Cela doit être encouragé mais aussi nous inciter à redoubler d’efforts pour consolider nos acquis, dira le représentant du ministre des Mines et du Pétrole, M. Diango Mady Coulibaly.
Il se trouve que de 2006 à nos jours, le Mali a déjà publié et disséminé dix rapports de réconciliation des flux financiers générés par le secteur extractif. Aujourd’hui, grâce à la mise en œuvre de l’ITIE, des informations importantes et capitales sur le secteur minier ont pu être divulgué au grand public et débattu tant au niveau central qu’au niveau des collectivités locales et des sites miniers.
« Le processus ITIE au Mali est la conjugaison des efforts et de l’engagement de tout un chacun pour renforcer nos acquis et corriger nos insuffisances. Je reste convaincu que cet engagement ne fera pas défaut » a dit M. Diango Mady Coulibaly.
Dans le rapport ITIE 2015 publié en 2017, le Mali répondait aux principes et aux exigences de cette Norme internationale. En mai 2017, le Mali a été encouragé à mettre rapidement en œuvre des mesures correctives relatives à la gouvernance du Groupe multipartite (Comité de pilotage) ; à la collecte et à la gestion des revenus issus du secteur extractif et à l’exhaustivité et la fiabilité des données. En 2017, ce dernier indicateur a atteint 71% pour la 1ère fois par l’ITIE Mali.
Mahamane Maïga