Comme cela se fait de coutume, le toilettage du code minier a fait l’objet d’un processus inclusif avec la présence de la société civile. Selon le président de la Fondation pour le Développement au Sahel (FDS) Tiémoko S. Sangaré, les travaux de réhabilitation doivent tenir compte de l’avis des communautés. Tiémoko S. Sangaré pense qu’il faut des dispositions plus contraignantes pour la protection de l’environnement. Cela pour amener les compagnies à la fiscalité de droit commun. Mieux, il pousse la réflexion et milite pour un code uniforme pour la sous-région.
De son côté, le Directeur général de la société Randgold Resources, estime que bien qu’il ait un nombre de nouvelles mines en vue au Mali, l’avenir de l’industrie aurifère du pays déprendra des succès de l’exploitation pour la prochaine génération de découvertes et la capacité du pays d’attirer les investissements nécessaires.
Pour lui, le plus crucial est de se battre pour un régime fiscal suffisamment attractif pour attirer les investisseurs étrangers.
«L’industrie et le gouvernement sous la direction du ministre des Mines ont eu des entretiens constructifs à cet égard et sur d’autres points comme l’impact destructif de l’orpaillage illégal et nous avons convenu de travailler ensemble pour trouver des solutions mutuellement acceptables».
Mahamane MAIGA
De son côté, le Directeur général de la société Randgold Resources, estime que bien qu’il ait un nombre de nouvelles mines en vue au Mali, l’avenir de l’industrie aurifère du pays déprendra des succès de l’exploitation pour la prochaine génération de découvertes et la capacité du pays d’attirer les investissements nécessaires.
Pour lui, le plus crucial est de se battre pour un régime fiscal suffisamment attractif pour attirer les investisseurs étrangers.
«L’industrie et le gouvernement sous la direction du ministre des Mines ont eu des entretiens constructifs à cet égard et sur d’autres points comme l’impact destructif de l’orpaillage illégal et nous avons convenu de travailler ensemble pour trouver des solutions mutuellement acceptables».
Mahamane MAIGA