La réforme du code minier est devenue une urgence. D’ailleurs, une rencontre a eu lieu dans ce sens. Elle a réuni des acteurs sociaux et des élus de la nation mardi dernier. En fait, Depuis le mai 2015, les autorités maliennes ont entrepris le processus de relecture du code minier de février 2012 afin de l’adapter au contexte actuel de l’exploitation minière.
Pour Tiémoko Souleymane Sangaré, président de la Fondation Pour le Développement au Sahel (FDS), ce processus a été soutenu par une volonté politique et une vision stratégique claire qui était de positionner le secteur minier au cœur du développement durable du Mali, en l’intégrant dans l’économie nationale.
«Cette révision du cadre légal et réglementaire et la promotion des investissements est pertinente pour booster la croissance économique durable afin de contribuer de manière significative à la réduction de la pauvreté et offrir une plus grande lisibilité aux revenus générés par l’industrie extractive», souligne le président de la FDS. Il indique par ailleurs que c’est dans ce contexte que les organisations de la Société Civile se sont engagées à contribuer à la promotion et à la réalisation des objectifs de la stratégie de développement du Mali à travers la gouvernance des ressources minérales.
Tiémoko S. Sangaré a expliqué aux élus que cette contribution consiste à renforcer la collaboration et la coopération entre tous les acteurs afin d’améliorer le cadre politique et normatif minier.
Dans sa présentation, le président de la FDS a évoqué entre autres: la problématique de financement, les relations des titres miniers avec les propriétaires de sol. Il a souhaité l’introduction des collectivités dans les activités de surveillance, dans le suivi de l’environnement, la réhabilitation des sites.
Mahamane MAIGA
Pour Tiémoko Souleymane Sangaré, président de la Fondation Pour le Développement au Sahel (FDS), ce processus a été soutenu par une volonté politique et une vision stratégique claire qui était de positionner le secteur minier au cœur du développement durable du Mali, en l’intégrant dans l’économie nationale.
«Cette révision du cadre légal et réglementaire et la promotion des investissements est pertinente pour booster la croissance économique durable afin de contribuer de manière significative à la réduction de la pauvreté et offrir une plus grande lisibilité aux revenus générés par l’industrie extractive», souligne le président de la FDS. Il indique par ailleurs que c’est dans ce contexte que les organisations de la Société Civile se sont engagées à contribuer à la promotion et à la réalisation des objectifs de la stratégie de développement du Mali à travers la gouvernance des ressources minérales.
Tiémoko S. Sangaré a expliqué aux élus que cette contribution consiste à renforcer la collaboration et la coopération entre tous les acteurs afin d’améliorer le cadre politique et normatif minier.
Dans sa présentation, le président de la FDS a évoqué entre autres: la problématique de financement, les relations des titres miniers avec les propriétaires de sol. Il a souhaité l’introduction des collectivités dans les activités de surveillance, dans le suivi de l’environnement, la réhabilitation des sites.
Mahamane MAIGA