Les responsables de la SECNAMI entendent observer leur grève du 1er au 5 septembre prochain. Ils exigent entre autres : l’arrêt immédiat des licenciements avant la mise en application effective de l’accord de novembre 2014, le respect des engagements consignés dans les différents procès-verbaux signés entre les partenaires, la mise en place des commissions nationales de fermeture dans les autres mines.
S’y ajoutent l’ouverture des négociations sans délai pour l’élaboration des accords d’établissements, l’arrêt immédiat de l’utilisation abusive du personnel expatrié dans les sociétés minières et Industrielles, des informations claires et précises sur le projet sulfureux de Sadiola et une concertation sur le cadre organique au ministère du Commerce (DFM).
« Si ses exigences ne sont pas satisfaites, la Section Nationale des Mines et Industries décide d’observer une grève de revendication et de protestation de 5 jours, à compter du vendredi 01 septembre 2017 à 00h au mardi 05 septembre 2017 à minuit.
Le travail reprendra le mercredi 06 septembre 2017 à 00h », a précisé Fousseyni Touré, le secrétaire général de la SECNAMI.
Mahamane Maïga
S’y ajoutent l’ouverture des négociations sans délai pour l’élaboration des accords d’établissements, l’arrêt immédiat de l’utilisation abusive du personnel expatrié dans les sociétés minières et Industrielles, des informations claires et précises sur le projet sulfureux de Sadiola et une concertation sur le cadre organique au ministère du Commerce (DFM).
« Si ses exigences ne sont pas satisfaites, la Section Nationale des Mines et Industries décide d’observer une grève de revendication et de protestation de 5 jours, à compter du vendredi 01 septembre 2017 à 00h au mardi 05 septembre 2017 à minuit.
Le travail reprendra le mercredi 06 septembre 2017 à 00h », a précisé Fousseyni Touré, le secrétaire général de la SECNAMI.
Mahamane Maïga