La note qui donne l’information précise que cette manne porte le total des décaissements au titre de l’accord en vigueur à 154,95 millions de DTS (environ 219,7 millions de dollars), ou 83 % de la quote-part.
Et de rappeler que l’accord FEC en faveur du Mali a été approuvé le 18 décembre 2013 pour un montant de 30 millions de DTS (environ 46,2 millions de dollars, ou 16,1 % de la quote-part à l’époque. Un accès supplémentaire de 68 millions de DTS (environ 96,4 millions de dollars), ou 36,4 % de la quote-part, a été approuvé le 9 juin 2016.
Selon la même source, cet accès supplémentaire a été suivi d’une augmentation de 88,6 millions de DTS (environ 125,6 millions de dollars), ou 47,5 % de la quote-part, approuvée le 7 juillet 2017, de même qu’une prolongation d’un an du programme, ce qui porte l’accès du Mali au titre de l’accord FEC à 186,6 millions de DTS (environ 264,6 millions de dollars), ou 100 % de sa quote-part.
Le FMI considère par la même occasion que la reprise économique s'est poursuivie en 2017, avec une croissance vigoureuse du PIB, une inflation modérée et une meilleure position budgétaire.
Selon lui, les perspectives économiques à moyen terme restent favorables, bien que la fragilité de la situation sécuritaire constitue un risque.
A son avis, il sera essentiel de maintenir l'élan des réformes structurelles mis en place pendant le programme pour concrétiser les perspectives favorables, améliorer le climat des affaires et pérenniser une croissance robuste et inclusive.
Ihrahima Konaté
Et de rappeler que l’accord FEC en faveur du Mali a été approuvé le 18 décembre 2013 pour un montant de 30 millions de DTS (environ 46,2 millions de dollars, ou 16,1 % de la quote-part à l’époque. Un accès supplémentaire de 68 millions de DTS (environ 96,4 millions de dollars), ou 36,4 % de la quote-part, a été approuvé le 9 juin 2016.
Selon la même source, cet accès supplémentaire a été suivi d’une augmentation de 88,6 millions de DTS (environ 125,6 millions de dollars), ou 47,5 % de la quote-part, approuvée le 7 juillet 2017, de même qu’une prolongation d’un an du programme, ce qui porte l’accès du Mali au titre de l’accord FEC à 186,6 millions de DTS (environ 264,6 millions de dollars), ou 100 % de sa quote-part.
Le FMI considère par la même occasion que la reprise économique s'est poursuivie en 2017, avec une croissance vigoureuse du PIB, une inflation modérée et une meilleure position budgétaire.
Selon lui, les perspectives économiques à moyen terme restent favorables, bien que la fragilité de la situation sécuritaire constitue un risque.
A son avis, il sera essentiel de maintenir l'élan des réformes structurelles mis en place pendant le programme pour concrétiser les perspectives favorables, améliorer le climat des affaires et pérenniser une croissance robuste et inclusive.
Ihrahima Konaté