Le responsable de l’Unité de gestion du PASIE a indiqué que ce projet est une initiative régionale mise en œuvre par le Conseil régional pour la formation des institutions supérieures de contrôle des finances publiques de l’Afrique francophone subsaharienne (CREFIAF). Célestin Ankamtsene a fait savoir que le projet est financé par le gouvernement du Canada sur une période de 5 ans pour un montant global estimé à environ 8 milliards de FCFA.
Selon lui, la mise en place du projet découle de la volonté de combler le déficit de gouvernance des industries extractives dans les pays riches en ressources naturelles de l’Afrique francophone subsaharienne.
« La mise en œuvre du projet PASIE a commencé à susciter l’émergence, dans les pays cibles, d’un environnement favorisant une croissance économique durable et inclusive pour toutes les parties prenantes, par le biais de l’amélioration du contrôle et de la surveillance des activités extractives», s’est-il réjoui.
Soulignant l’importance de ce projet, le contrôleur général des services publics a déclaré que le présent atelier consacre une des étapes importantes dans le cadre du renforcement des capacités des acteurs et parties prenantes à l’amélioration de la gouvernance, du contrôle, de la transparence et de la reddition des comptes dans le domaine de l’industrie extractive en général et du secteur minier en particulier. Mme Konaté Salimata Diakité a vivement remercié les experts formateurs canadiens pour leur engagement dans le renforcement des capacités des institutions de contrôle bénéficiaires du PASIE.
Mahamane Maïga
Selon lui, la mise en place du projet découle de la volonté de combler le déficit de gouvernance des industries extractives dans les pays riches en ressources naturelles de l’Afrique francophone subsaharienne.
« La mise en œuvre du projet PASIE a commencé à susciter l’émergence, dans les pays cibles, d’un environnement favorisant une croissance économique durable et inclusive pour toutes les parties prenantes, par le biais de l’amélioration du contrôle et de la surveillance des activités extractives», s’est-il réjoui.
Soulignant l’importance de ce projet, le contrôleur général des services publics a déclaré que le présent atelier consacre une des étapes importantes dans le cadre du renforcement des capacités des acteurs et parties prenantes à l’amélioration de la gouvernance, du contrôle, de la transparence et de la reddition des comptes dans le domaine de l’industrie extractive en général et du secteur minier en particulier. Mme Konaté Salimata Diakité a vivement remercié les experts formateurs canadiens pour leur engagement dans le renforcement des capacités des institutions de contrôle bénéficiaires du PASIE.
Mahamane Maïga