Cette rencontre est une initiative de la conférence Internationale de la prévoyance sociale (CIPRES) et de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS). Elle a regroupé les médecins et autres experts notamment des médecins d’entreprises et d’Etat, pour élaborer des recommandations pertinentes qui devraient servir à améliorer la prise en charge des risques professionnels.
Ces assises, issues des ateliers techniques ayant regroupé les médecins Conseils des Organismes nationaux de Prévoyance Sociale tenus respectivement à Bamako en 2003 et à Dakar en 2005 sous l’égide de l’interafricaine de la prévention des risques professionnels.
Ce projet résulte des nombreuses insuffisances constatées dans la prise en charge des victimes caractérisées notamment par l’existence de listes de maladies professionnelles obsolètes, de textes législatifs et règlementaires peu adaptés et surtout non actualisés depuis plusieurs décennies dans les Etats membres de la CIPRES.
Il vise à aboutir à un référentiel unique en matière de prise en charge des maladies professionnelles dans la zone CIPRES et partant à favoriser une meilleure maîtrise des accidents et maladies liés au travail et corrélativement des coûts induits par ceux-ci…
A l’ouverture des travaux, le représentant du ministre, M.Diallo dira que durant ces vingt dernières années, les progrès techniques réalisés ont apporté la prospérité certes, mais elles ont aussi engendré des accidents, des maladies, des handicaps et des morts, brisant ainsi de nombreux destins.
Il estime qu’au Mali, pour le seul secteur privé, plus de 400 lésions professionnelles sont enregistrées chaque année.
Ce nombre n’est pas acceptable, encore qu’il ne s’agit que de la partie visible de l’Iceberg. Nous disposons pourtant, aujourd’hui d’un ensemble de textes législatifs et réglementaires assez important et l’un des plus exigeant de notre sous-région a-t-il laissé entendre. Avant de signaler qu’il est important de poursuivre et d’amplifier l’action de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles en mobilisant l’ensemble des énergies et des moyens disponibles. Prévenir les accidents et les maladies du travail relève de notre responsabilité collective. A ses dires, les entreprises sont les premières concernées, parce que des salariés y travaillent.
L’Etat ensuite doit veiller à garantir et à renforcer la sécurité, à améliorer la prévention et la réparation des accidents du travail et des maladies professionnelles a-t-il fait savoir.
Flani SORA
Ces assises, issues des ateliers techniques ayant regroupé les médecins Conseils des Organismes nationaux de Prévoyance Sociale tenus respectivement à Bamako en 2003 et à Dakar en 2005 sous l’égide de l’interafricaine de la prévention des risques professionnels.
Ce projet résulte des nombreuses insuffisances constatées dans la prise en charge des victimes caractérisées notamment par l’existence de listes de maladies professionnelles obsolètes, de textes législatifs et règlementaires peu adaptés et surtout non actualisés depuis plusieurs décennies dans les Etats membres de la CIPRES.
Il vise à aboutir à un référentiel unique en matière de prise en charge des maladies professionnelles dans la zone CIPRES et partant à favoriser une meilleure maîtrise des accidents et maladies liés au travail et corrélativement des coûts induits par ceux-ci…
A l’ouverture des travaux, le représentant du ministre, M.Diallo dira que durant ces vingt dernières années, les progrès techniques réalisés ont apporté la prospérité certes, mais elles ont aussi engendré des accidents, des maladies, des handicaps et des morts, brisant ainsi de nombreux destins.
Il estime qu’au Mali, pour le seul secteur privé, plus de 400 lésions professionnelles sont enregistrées chaque année.
Ce nombre n’est pas acceptable, encore qu’il ne s’agit que de la partie visible de l’Iceberg. Nous disposons pourtant, aujourd’hui d’un ensemble de textes législatifs et réglementaires assez important et l’un des plus exigeant de notre sous-région a-t-il laissé entendre. Avant de signaler qu’il est important de poursuivre et d’amplifier l’action de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles en mobilisant l’ensemble des énergies et des moyens disponibles. Prévenir les accidents et les maladies du travail relève de notre responsabilité collective. A ses dires, les entreprises sont les premières concernées, parce que des salariés y travaillent.
L’Etat ensuite doit veiller à garantir et à renforcer la sécurité, à améliorer la prévention et la réparation des accidents du travail et des maladies professionnelles a-t-il fait savoir.
Flani SORA