Selon Boubacar Sanogo, représentant le ministère de l’Energie et de l’Eau, depuis que la Charte a été mise en vigueur en 2010, son contenu reste encore inconnu du Grand Public et des décideurs surtout au niveau local.
L’élaboration de la Charte de l’Eau du Bassin du Niger est l’aboutissement de la Vision Partagée et de l’Adoption du Plan d’Action et du Développement Durable (PADD) du Bassin du Niger.
Pour lui, la Charte de l’Eau du Bassin du Niger constitue donc un instrument consensuel de coopération entre les États membres de l’ABN pour une gestion concertée et durable des ressources en eau du Bassin du Niger.
Après son entrée en vigueur le 19 juillet 2010, l’expert pense qu’il est temps d’adopter les comportements requis pour protéger nos ressources en eau des diverses agressions et pollutions dont il fait l’objet de la part de beaucoup d’acteurs économiques. Citant des exemples précis, il déplore le cas des pollutions liées à l’orpaillage qu’il soit traditionnel, moderne ou par dragage.
En fait, les activités comme le dragage ont un impact négatif sur l’approvisionnement en eau des villes, sur l’abreuvement du bétail, sur les ressources halieutiques, sur la production agricole et en définitif sur la santé humaine et animale.
C’est pour réussir un changement de comportement que le Programme Conjoint d’Appui à la GIRE et la Structure Focale de l’Autorité du Bassin du Niger se sont engagés à la sensibilisation à la Charte de l’Eau.
Mahamane MAIGA
L’élaboration de la Charte de l’Eau du Bassin du Niger est l’aboutissement de la Vision Partagée et de l’Adoption du Plan d’Action et du Développement Durable (PADD) du Bassin du Niger.
Pour lui, la Charte de l’Eau du Bassin du Niger constitue donc un instrument consensuel de coopération entre les États membres de l’ABN pour une gestion concertée et durable des ressources en eau du Bassin du Niger.
Après son entrée en vigueur le 19 juillet 2010, l’expert pense qu’il est temps d’adopter les comportements requis pour protéger nos ressources en eau des diverses agressions et pollutions dont il fait l’objet de la part de beaucoup d’acteurs économiques. Citant des exemples précis, il déplore le cas des pollutions liées à l’orpaillage qu’il soit traditionnel, moderne ou par dragage.
En fait, les activités comme le dragage ont un impact négatif sur l’approvisionnement en eau des villes, sur l’abreuvement du bétail, sur les ressources halieutiques, sur la production agricole et en définitif sur la santé humaine et animale.
C’est pour réussir un changement de comportement que le Programme Conjoint d’Appui à la GIRE et la Structure Focale de l’Autorité du Bassin du Niger se sont engagés à la sensibilisation à la Charte de l’Eau.
Mahamane MAIGA