Le complexe Loulo-Gounkoto réalise une production record de 730.372 onces, soit environ 22 tonnes d’or en 2017. Cette information a été donnée par les administrateurs du complexe minier, lors d’une conférence de presse, organisée le week-end dernier, à Loulo, dans le cercle de Kéniéba.
Dans son intervention, le PDG de Randgold Mark Bristow a fait savoir qu’ils sont heureux d’être un producteur de classe mondiale et qu’ils veulent continuer à développer leurs mines au Mali avec tous les partenaires. Selon lui, l’industrie minière est une industrie consommatrice et qu’il est important de continuer à investir dans l’industrie.
Plus loin, il dira que c’est un privilège pour lui du fait que les trois mines de la société sont dirigées par des Maliens et que la mine Loulo-Gounkoto est un complexe, une très grande mine qui fait partie des dix mines les plus grandes au monde. Par ailleurs, il a souligné que le niveau de mécanisation dans ces mines est sans égal
Exploitant des mines souterraines de Loulo, Yaléa et Gara ainsi que la mine à ciel ouvert de Gounkoto, le groupe Randgold a réalisé une production record au cours de l’année 2017 tout en réduisant les coûts. Rien que pour le complexe Loulo-Gounkoto, le plus grand du genre au monde la production annuelle d’or s’est établi à 730.372 onces (environ 22 tonnes), soit : 3% de plus que l’armée précédente.
Le Directeur exécutif Mark Bristow a déclaré que cette performance est le fruit des efforts de toute l’équipe de la Direction constituée majoritairement de Maliens. Il a indiqué que « les perspectives pour 2018 sont bonnes compte tenu des bons débuts même si la production attendue sera moindre que celle du trimestre précédent ».
Par ailleurs, le Directeur général du complexe, Tahirou Ballo, a souligné qu’ils espèrent « une augmentation de la teneur et de la production pour le reste de l’année afin d’atteindre l’objectif de 690 000 onces ». Avant d’indiquer que la production des mines souterraines continue de montrer une amélioration constante depuis la reprise de leur exploitation en 2016.
Mahamane Maïga
Dans son intervention, le PDG de Randgold Mark Bristow a fait savoir qu’ils sont heureux d’être un producteur de classe mondiale et qu’ils veulent continuer à développer leurs mines au Mali avec tous les partenaires. Selon lui, l’industrie minière est une industrie consommatrice et qu’il est important de continuer à investir dans l’industrie.
Plus loin, il dira que c’est un privilège pour lui du fait que les trois mines de la société sont dirigées par des Maliens et que la mine Loulo-Gounkoto est un complexe, une très grande mine qui fait partie des dix mines les plus grandes au monde. Par ailleurs, il a souligné que le niveau de mécanisation dans ces mines est sans égal
Exploitant des mines souterraines de Loulo, Yaléa et Gara ainsi que la mine à ciel ouvert de Gounkoto, le groupe Randgold a réalisé une production record au cours de l’année 2017 tout en réduisant les coûts. Rien que pour le complexe Loulo-Gounkoto, le plus grand du genre au monde la production annuelle d’or s’est établi à 730.372 onces (environ 22 tonnes), soit : 3% de plus que l’armée précédente.
Le Directeur exécutif Mark Bristow a déclaré que cette performance est le fruit des efforts de toute l’équipe de la Direction constituée majoritairement de Maliens. Il a indiqué que « les perspectives pour 2018 sont bonnes compte tenu des bons débuts même si la production attendue sera moindre que celle du trimestre précédent ».
Par ailleurs, le Directeur général du complexe, Tahirou Ballo, a souligné qu’ils espèrent « une augmentation de la teneur et de la production pour le reste de l’année afin d’atteindre l’objectif de 690 000 onces ». Avant d’indiquer que la production des mines souterraines continue de montrer une amélioration constante depuis la reprise de leur exploitation en 2016.
Mahamane Maïga