Des moutons avec des acabits dépassant souvent ceux des veaux, des boucs aussi costauds qu’un bélier et des chèvres donnant du lait frais ou caillé selon l’heure de la traite. C’est le résultat de dix années de plusieurs croisements de races ovines et caprines. Au début de ces expériences, les membres de l’AMDAROC avaient commencé l’amélioration des races de leurs animaux avec les races locales. Au bout de quelques années, ces hommes ont utilisé d’autres races notamment les races tchadiennes.
Au fil des années, ces croisements ont très vite donné des résultats probants. Les fruits de ces mutations ont dépassé les races locales. Ces différents animaux sont vendus au prix fort et surtout ils permettent au Mali de gagner des trophées dans leurs catégories dans la sous régions et donner aussi une place de choix à notre pays dans ce secteur.
Ce qui encourage aussi ces précurseurs du croisement à persévérer dans l’amélioration des bovins et des ovins. Pour cette première, ce salon reçoit deux cents spécimens qui sont exposés. De quoi inciter les jeunes à s’intéresser à autre secteur important de l’agriculture afin de réduire le tau du chômage au sein de cette couche.
Mimi DIAWANDO
Au fil des années, ces croisements ont très vite donné des résultats probants. Les fruits de ces mutations ont dépassé les races locales. Ces différents animaux sont vendus au prix fort et surtout ils permettent au Mali de gagner des trophées dans leurs catégories dans la sous régions et donner aussi une place de choix à notre pays dans ce secteur.
Ce qui encourage aussi ces précurseurs du croisement à persévérer dans l’amélioration des bovins et des ovins. Pour cette première, ce salon reçoit deux cents spécimens qui sont exposés. De quoi inciter les jeunes à s’intéresser à autre secteur important de l’agriculture afin de réduire le tau du chômage au sein de cette couche.
Mimi DIAWANDO