Madame Soukeyna Kane, Directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Mali
Ce projet bénéficiera à 340 000 acteurs de la filière de l’élevage, de l’aviculture et de la pisciculture (petits producteurs, éleveurs et entrepreneurs), dont un tiers au moins de femmes et un tiers ayant moins de 40 ans.
Le projet PADEL-Mali sera déployé sur tout le territoire malien, dans l’objectif de « renforcer la productivité et la commercialisation de produits animaux non pastoraux dans des filières sélectionnées, viande et lait, volaille et œufs, aquaculture, apiculture — et d’améliorer la capacité du Mali à faire face aux risques de crise ou de situation d’urgence », déclare Marianne Grosclaude, chef de service au département Afrique de l’Ouest du pôle Agriculture.
Le secteur de l’élevage est l’un des piliers de l’économie du Mali, derrière l’or et le coton. Il joue un rôle déterminant dans la création de richesse, la lutte contre la pauvreté et la promotion de la prospérité en milieu rural.
« Le projet PADEL-Mali contribuera à développer des systèmes et des filières d’élevage sédentaire. Il vient compléter un projet régional déjà en cours au Sahel et axé sur le pastoralisme, ce qui témoigne de la volonté du Groupe de la Banque mondiale d’appuyer l’ensemble du secteur de l’élevage au Mali », souligne Soukeyna Kane, directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Mali.
Le projet devrait améliorer le niveau de vie de ses bénéficiaires, et notamment des petits producteurs. En plus de renforcer la qualité des services fournis au secteur de l’élevage (services vétérinaires, insémination artificielle, vulgarisation, décisions politiques…), il soutiendra l’investissement privé afin de créer des emplois dans les fermes et dans l’industrie et de réduire le déficit commercial du pays en développant l’exportation de produits d’élevage tout en limitant les importations d’œufs et de lait. Enfin, en stimulant l’activité économique dans le secteur formel, le projet augmentera les rentrées fiscales du gouvernement.
« L’élevage, mais également la pêche et l’aquaculture, sont des piliers de l’économie malienne et constituent une activité productive centrale pour plus de 85 % de la population du pays. Grâce à ses deux guichets de financement innovants, le projet PADEL-Mali offrira au secteur privé et aux institutions financières des possibilités d’investissement inédites dans le développement de la production et la modernisation des filières de l’élevage », se félicite Christian Berger, chef d’équipe du projet à la Banque mondiale.
Ibrahim Yousseef
Le projet PADEL-Mali sera déployé sur tout le territoire malien, dans l’objectif de « renforcer la productivité et la commercialisation de produits animaux non pastoraux dans des filières sélectionnées, viande et lait, volaille et œufs, aquaculture, apiculture — et d’améliorer la capacité du Mali à faire face aux risques de crise ou de situation d’urgence », déclare Marianne Grosclaude, chef de service au département Afrique de l’Ouest du pôle Agriculture.
Le secteur de l’élevage est l’un des piliers de l’économie du Mali, derrière l’or et le coton. Il joue un rôle déterminant dans la création de richesse, la lutte contre la pauvreté et la promotion de la prospérité en milieu rural.
« Le projet PADEL-Mali contribuera à développer des systèmes et des filières d’élevage sédentaire. Il vient compléter un projet régional déjà en cours au Sahel et axé sur le pastoralisme, ce qui témoigne de la volonté du Groupe de la Banque mondiale d’appuyer l’ensemble du secteur de l’élevage au Mali », souligne Soukeyna Kane, directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Mali.
Le projet devrait améliorer le niveau de vie de ses bénéficiaires, et notamment des petits producteurs. En plus de renforcer la qualité des services fournis au secteur de l’élevage (services vétérinaires, insémination artificielle, vulgarisation, décisions politiques…), il soutiendra l’investissement privé afin de créer des emplois dans les fermes et dans l’industrie et de réduire le déficit commercial du pays en développant l’exportation de produits d’élevage tout en limitant les importations d’œufs et de lait. Enfin, en stimulant l’activité économique dans le secteur formel, le projet augmentera les rentrées fiscales du gouvernement.
« L’élevage, mais également la pêche et l’aquaculture, sont des piliers de l’économie malienne et constituent une activité productive centrale pour plus de 85 % de la population du pays. Grâce à ses deux guichets de financement innovants, le projet PADEL-Mali offrira au secteur privé et aux institutions financières des possibilités d’investissement inédites dans le développement de la production et la modernisation des filières de l’élevage », se félicite Christian Berger, chef d’équipe du projet à la Banque mondiale.
Ibrahim Yousseef