Le ministre de l’Economie et des Finances, Dr. Boubou CISSE et son collègue Arouna TOURE ont participé aux réunions. Ces deux rencontres ont été des cadres d’échanges entre les ministres africains et les deux hauts responsables autour des problématiques propres à la région Afrique.
À l’issue de ces rencontres, les Gouverneurs africains ont remis un mémorandum à la Directrice générale du Fonds monétaires international et au Président du Groupe de la Banque Mondiale au sujet de « la promotion de la croissance inclusive moyennant les investissement privés et l’accès au financement ».
Les deux ministres maliens ont également participé aux réunions du Comité monétaire et financier international et du Comité du développement, forum conjoint de la Banque et du FMI, qui permettent aux ministres représentants les 189 pays membres des deux institutions de faire le point sur les activités des deux institutions, notamment en matière de développement des pays, de surveillance et la gestion du système monétaire et financier international.
Dans son communiqué final, le Comité du développement, a notamment exprimé ses préoccupations à l’égard de la hausse des niveaux d’endettement de certaines économies émergentes et certains pays à faible revenu. Il a été demandé au Groupe de la Banque mondiale de collaborer avec le FMI en vue d’aider les pays à fortifier leur situation budgétaire en améliorant leur capacité de gestion de la dette, en mobilisant davantage de ressources nationales et en développant les marchés financiers locaux. Il a aussi été demandé la mise en place des politiques propices à une croissance économique robuste et solidaire, à la réduction des risques et à la promotion de la compétitivité ainsi qu’au renforcement de la viabilité des finances publiques et de la résilience financière.
Par ailleurs, le Comité monétaire et financier international (CMFI) a reconnu la nécessite d’intensifier le dialogue et l’action sur le commerce. Les dirigeants de l’économie et des finances du monde entier se sont engagés à renforcer leur coopération pour faire face aux défis communs, reconnaissant la nécessité d’intensifier le dialogue et les mesures visant à atténuer les risques et à renforcer la confiance dans le commerce international.
Mahamane Maïga
À l’issue de ces rencontres, les Gouverneurs africains ont remis un mémorandum à la Directrice générale du Fonds monétaires international et au Président du Groupe de la Banque Mondiale au sujet de « la promotion de la croissance inclusive moyennant les investissement privés et l’accès au financement ».
Les deux ministres maliens ont également participé aux réunions du Comité monétaire et financier international et du Comité du développement, forum conjoint de la Banque et du FMI, qui permettent aux ministres représentants les 189 pays membres des deux institutions de faire le point sur les activités des deux institutions, notamment en matière de développement des pays, de surveillance et la gestion du système monétaire et financier international.
Dans son communiqué final, le Comité du développement, a notamment exprimé ses préoccupations à l’égard de la hausse des niveaux d’endettement de certaines économies émergentes et certains pays à faible revenu. Il a été demandé au Groupe de la Banque mondiale de collaborer avec le FMI en vue d’aider les pays à fortifier leur situation budgétaire en améliorant leur capacité de gestion de la dette, en mobilisant davantage de ressources nationales et en développant les marchés financiers locaux. Il a aussi été demandé la mise en place des politiques propices à une croissance économique robuste et solidaire, à la réduction des risques et à la promotion de la compétitivité ainsi qu’au renforcement de la viabilité des finances publiques et de la résilience financière.
Par ailleurs, le Comité monétaire et financier international (CMFI) a reconnu la nécessite d’intensifier le dialogue et l’action sur le commerce. Les dirigeants de l’économie et des finances du monde entier se sont engagés à renforcer leur coopération pour faire face aux défis communs, reconnaissant la nécessité d’intensifier le dialogue et les mesures visant à atténuer les risques et à renforcer la confiance dans le commerce international.
Mahamane Maïga