Cette évolution d'un trimestre à l'autre est consécutive à la diminution des créances sur l'économie (-147,7 milliards ou -0,7%), conjuguée avec la décrue des créances nettes des institutions de dépôt sur les Administrations Publiques Centrales (APUC) des Etats de l'Union (-133,5 milliards ou -1,6%).
En variation annuelle, la progression de l'encours des créances intérieures s'est établie à 13,4% à fin mars 2019, après 9,4% trois mois plus tôt. Ce dynamisme est essentiellement attribuable à l'expansion des créances nettes sur l'APUC (+31,3% contre +11,5% trois mois plus tôt) et à la bonne tenue des créances sur l'économie (+8,0% contre +8,7% trois mois auparavant).
Les contributions des créances sur l'économie et des créances nettes sur l'APUC
à la croissance annuelle des créances intérieures sont ressorties à fin mars 2019 à 6,1 points de pourcentage (pdp) et 7,3 pdp contre respectivement 6,4 pdp et 3,0 pdp à fin décembre 2018.
Les créances nettes des institutions de dépôt sur les APUC ont baissé de 1,6% au premier trimestre 2019, en variation trimestrielle, contre une hausse de 8,8% au trimestre précédent.
Cette évolution résulte essentiellement du dégonflement des créances nettes de la BCEAO sur les Administrations Publiques Centrales (-94,9% ou -249,5 milliards), atténué par la progression des créances nettes des banques sur les APUC (+1,5% ou +116,1 milliards) sur la période.
Pathé TOURE
En variation annuelle, la progression de l'encours des créances intérieures s'est établie à 13,4% à fin mars 2019, après 9,4% trois mois plus tôt. Ce dynamisme est essentiellement attribuable à l'expansion des créances nettes sur l'APUC (+31,3% contre +11,5% trois mois plus tôt) et à la bonne tenue des créances sur l'économie (+8,0% contre +8,7% trois mois auparavant).
Les contributions des créances sur l'économie et des créances nettes sur l'APUC
à la croissance annuelle des créances intérieures sont ressorties à fin mars 2019 à 6,1 points de pourcentage (pdp) et 7,3 pdp contre respectivement 6,4 pdp et 3,0 pdp à fin décembre 2018.
Les créances nettes des institutions de dépôt sur les APUC ont baissé de 1,6% au premier trimestre 2019, en variation trimestrielle, contre une hausse de 8,8% au trimestre précédent.
Cette évolution résulte essentiellement du dégonflement des créances nettes de la BCEAO sur les Administrations Publiques Centrales (-94,9% ou -249,5 milliards), atténué par la progression des créances nettes des banques sur les APUC (+1,5% ou +116,1 milliards) sur la période.
Pathé TOURE