Prenant la parole lors de la 22ème réunion du Comité intergouvernemental d’experts (CIE) à Kigali, au Rwanda, Giovanie Biha dit que la CEA aide tous les pays africains à élaborer des stratégies nationales de mise en œuvre de la ZLECA.
«Et nous allons organiser des dialogues nationaux afin que les gouvernements, la société civile et le secteur privé puissent se réunir pour discuter de la voie à suivre», indique-t-elle, ajoutant que la mise en place d’un consensus derrière la ZLECA est le seul moyen de parvenir à sa mise en œuvre.
Elle informe que les stratégies nationales viendront en complément de la politique commerciale plus générale de chaque pays et identifieront les principales opportunités commerciales, les contraintes actuelles et les mesures requises pour tirer pleinement parti de la ZLECA. Les stratégies nationales fourniront également des orientations sur la voie à suivre pour mettre en place des comités nationaux de mise en œuvre de la ZLECA.
Le renforcement des capacités en matière d’intégration de la dimension genre pour un plaidoyer en faveur d’une mise en œuvre de la ZLECA tenant compte de la dimension de genre est également crucial, déclare la Secrétaire exécutive adjointe.
«La ZLECA est une étape décisive en ce qui concerne la politique commerciale de l’Afrique. Nous pensons qu’une intégration réussie du genre dans le projet national relatif à la ZLECA créera un impact concret et durable sur le terrain dans les pays pilotes, tout en encourageant et montrant la voie à suivre aux autres signataires africains», dit Biha.
Elle dit qu’avec la ZLECA, l’Afrique est prête pour de nouveaux horizons.
«Pour atteindre cet horizon souhaité, des efforts supplémentaires sont nécessaires à savoir, ratifier l’accord, le mettre en œuvre et mettre en place les réformes nécessaires pour permettre la transformation économique que nous recherchons », indique-t-elle.
Elle ajoute que le succès de la ZLECA dépend de la mesure dans laquelle ladite Zone est favorable aux groupes les plus marginalisés. «La ZLECA est un projet extrêmement ambitieux. Pour qu’il réponde réellement à ces attentes transformatrices, il sera nécessaire de veiller à ce que les avantages soient réellement partagés. Cela comprend une attention particulière à l’égalité des sexes, parmi d’autres questions telles que l’inclusion, dans le processus de la ZLECA», fait savoir Biha.
Elle fait également allusion à l’importance des statistiques pour le suivi de la ZLECA ; les femmes et le commerce numérique et les questions connexes.
Au moins 49 pays africains ont signé la ZLECA et 12 l’ont ratifié depuis le mois de mars où il a été dévoilé à Kigali, au Rwanda. Vingt-deux ratifications au total sont nécessaires pour permettre l’entrée en vigueur de l’accord.
ICE2018 se déroule sous le thème, «Mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine en Afrique de l’Est : de la vision à l’action».
Pathé TOURE
«Et nous allons organiser des dialogues nationaux afin que les gouvernements, la société civile et le secteur privé puissent se réunir pour discuter de la voie à suivre», indique-t-elle, ajoutant que la mise en place d’un consensus derrière la ZLECA est le seul moyen de parvenir à sa mise en œuvre.
Elle informe que les stratégies nationales viendront en complément de la politique commerciale plus générale de chaque pays et identifieront les principales opportunités commerciales, les contraintes actuelles et les mesures requises pour tirer pleinement parti de la ZLECA. Les stratégies nationales fourniront également des orientations sur la voie à suivre pour mettre en place des comités nationaux de mise en œuvre de la ZLECA.
Le renforcement des capacités en matière d’intégration de la dimension genre pour un plaidoyer en faveur d’une mise en œuvre de la ZLECA tenant compte de la dimension de genre est également crucial, déclare la Secrétaire exécutive adjointe.
«La ZLECA est une étape décisive en ce qui concerne la politique commerciale de l’Afrique. Nous pensons qu’une intégration réussie du genre dans le projet national relatif à la ZLECA créera un impact concret et durable sur le terrain dans les pays pilotes, tout en encourageant et montrant la voie à suivre aux autres signataires africains», dit Biha.
Elle dit qu’avec la ZLECA, l’Afrique est prête pour de nouveaux horizons.
«Pour atteindre cet horizon souhaité, des efforts supplémentaires sont nécessaires à savoir, ratifier l’accord, le mettre en œuvre et mettre en place les réformes nécessaires pour permettre la transformation économique que nous recherchons », indique-t-elle.
Elle ajoute que le succès de la ZLECA dépend de la mesure dans laquelle ladite Zone est favorable aux groupes les plus marginalisés. «La ZLECA est un projet extrêmement ambitieux. Pour qu’il réponde réellement à ces attentes transformatrices, il sera nécessaire de veiller à ce que les avantages soient réellement partagés. Cela comprend une attention particulière à l’égalité des sexes, parmi d’autres questions telles que l’inclusion, dans le processus de la ZLECA», fait savoir Biha.
Elle fait également allusion à l’importance des statistiques pour le suivi de la ZLECA ; les femmes et le commerce numérique et les questions connexes.
Au moins 49 pays africains ont signé la ZLECA et 12 l’ont ratifié depuis le mois de mars où il a été dévoilé à Kigali, au Rwanda. Vingt-deux ratifications au total sont nécessaires pour permettre l’entrée en vigueur de l’accord.
ICE2018 se déroule sous le thème, «Mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine en Afrique de l’Est : de la vision à l’action».
Pathé TOURE