Bâle II et Bâle III sont des normes qui sont édictées, par le régulateur, ce sont des normes qui viennent d’une instance, le comité de Bâle qui avait déjà créé un dispositif qui s’appelait Bâle I, un dispositif de surveillance et de supervision bancaire qui prévoyait principalement dans le dispositif de Bâle I que les banques devaient respecter un certain nombre de ratios principalement le ratio de solvabilité et ce ratio est déterminé en fonction des risques, du risque de crédit.
Suite aux diverses crises qui se sont passées un peu partout dans le monde, notamment la crise financière de 2008 qui a démontré que les banques n’étaient pas suffisamment solides, que certaines opérations complexes notamment les opérations de titrisation n’étaient pas correctement supervisées et que d’une manière générale, les banques pendant cette période ont manqué de liquidités et enfin que les fonds propres des banques étaient des fonds propres de très pauvres qualité , c'est-à-dire dire des fonds propres très peu solides.
Donc le comité de Bâle a instauré de nouvelles règles prudentielles que l’on appelle Bâle II, Bâle III. Ces nouvelles règles, c’est celles que l’autorité de tutelle, c'est-à-dire la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest(BCEAO) a décidé de transposer dans notre environnement juridique.
Globalement Bâle II, Bâle III est en gros constitué de trois piliers :
Ismaila BA
Suite aux diverses crises qui se sont passées un peu partout dans le monde, notamment la crise financière de 2008 qui a démontré que les banques n’étaient pas suffisamment solides, que certaines opérations complexes notamment les opérations de titrisation n’étaient pas correctement supervisées et que d’une manière générale, les banques pendant cette période ont manqué de liquidités et enfin que les fonds propres des banques étaient des fonds propres de très pauvres qualité , c'est-à-dire dire des fonds propres très peu solides.
Donc le comité de Bâle a instauré de nouvelles règles prudentielles que l’on appelle Bâle II, Bâle III. Ces nouvelles règles, c’est celles que l’autorité de tutelle, c'est-à-dire la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest(BCEAO) a décidé de transposer dans notre environnement juridique.
Globalement Bâle II, Bâle III est en gros constitué de trois piliers :
- la solvabilité c'est-à-dire le risque de crédit, le risque de marché, le risque opérationnel,
- le dispositif de surveillance que chaque banque doit mettre en œuvre pour surveiller les risques et pour connaitre à tout moment son exposition et sa situation vis-à-vis des fonds propres.
- Et enfin, une discipline de marché en exigeant des banques la communication des informations financières
Ismaila BA