Le Rapport sur la Politique Monétaire dans l’UMOA Juin 2018 qui donne l’information souligne qu’entre décembre 2017 et mars 2018, les ressources ont progressé de 468,2 milliards (+1,7%) pour se situer à 27.651,6 milliards.
Le document explique que cette évolution est essentiellement tirée par les fonds propres (+438,8 milliards ou +16,5%) et les autres ressources (+278,1 milliards ou +14,9%), dont les effets ont été atténués par la baisse des dépôts et emprunts (-248,7 milliards ou -1,1%).
Sur la même la période, poursuit la même source, les emplois du système bancaire ont baissé de 241,8 milliards ou 0,8% pour s'établir à 30.322,4 milliards.
A l’en croire, cette évolution résulte d'une diminution des crédits (-193,1 milliards ou -1,0%) et des autres emplois (-48,7 milliards ou -0,4%).
Le Rapport sur la Politique Monétaire dans l’UMOA du mois en cours indique que l'encours total des crédits octroyés aux 50 plus Grosses Entreprises Utilisatrices de Crédits Bancaires (GEUCB) de chaque Etat membre de l'Union s'établirait à 6.085,1 milliards à fin mars 2018, en hausse de 2,7% par rapport au trimestre précédent et de 9,1% en glissement annuel.
Rapporté aux crédits déclarés à la Centrale des risques bancaires de l'Union, poursuit le document, il représente 46,9% à fin mars 2018 contre 46,8% à fin décembre 2017.
Avant d’ajouter que relativement aux crédits à l'économie, les concours octroyés à l'ensemble des 50 GEUCB de chaque pays membre de l'Union représenteraient 32,9% à fin mars 2018, contre 32,4% à fin décembre 2017 et 34,0% un an plus tôt.
Au plan sectoriel, poursuit la même source, les gros risques sont portés à plus des quatre-cinquièmes par les entreprises évoluant dans les branches "commerce de gros" (27,0%), "industries manufacturières" (16,6%), "Services fournis à la collectivité" (15,9%), "Transports et communications" (11,9%) ainsi que "Bâtiments et travaux publics" (9,3%).
Dans cette même dynamique, ce même Rapport sur la Politique Monétaire dans l’UMOA fait remarquer que la qualité du portefeuille des banques et établissements financiers à caractère bancaire de l'Union a connu une amélioration au cours du trimestre.
En effet, poursuit-il, le taux brut de dégradation du portefeuille est ressorti à 12,9% contre 14,0% à fin décembre 2017.
Et de préciser que le taux net, tenant compte de l'effort de provisionnement, s'est établi à 4,2% contre 5,6% au trimestre précédent.
Mariama Diallo
Le document explique que cette évolution est essentiellement tirée par les fonds propres (+438,8 milliards ou +16,5%) et les autres ressources (+278,1 milliards ou +14,9%), dont les effets ont été atténués par la baisse des dépôts et emprunts (-248,7 milliards ou -1,1%).
Sur la même la période, poursuit la même source, les emplois du système bancaire ont baissé de 241,8 milliards ou 0,8% pour s'établir à 30.322,4 milliards.
A l’en croire, cette évolution résulte d'une diminution des crédits (-193,1 milliards ou -1,0%) et des autres emplois (-48,7 milliards ou -0,4%).
Le Rapport sur la Politique Monétaire dans l’UMOA du mois en cours indique que l'encours total des crédits octroyés aux 50 plus Grosses Entreprises Utilisatrices de Crédits Bancaires (GEUCB) de chaque Etat membre de l'Union s'établirait à 6.085,1 milliards à fin mars 2018, en hausse de 2,7% par rapport au trimestre précédent et de 9,1% en glissement annuel.
Rapporté aux crédits déclarés à la Centrale des risques bancaires de l'Union, poursuit le document, il représente 46,9% à fin mars 2018 contre 46,8% à fin décembre 2017.
Avant d’ajouter que relativement aux crédits à l'économie, les concours octroyés à l'ensemble des 50 GEUCB de chaque pays membre de l'Union représenteraient 32,9% à fin mars 2018, contre 32,4% à fin décembre 2017 et 34,0% un an plus tôt.
Au plan sectoriel, poursuit la même source, les gros risques sont portés à plus des quatre-cinquièmes par les entreprises évoluant dans les branches "commerce de gros" (27,0%), "industries manufacturières" (16,6%), "Services fournis à la collectivité" (15,9%), "Transports et communications" (11,9%) ainsi que "Bâtiments et travaux publics" (9,3%).
Dans cette même dynamique, ce même Rapport sur la Politique Monétaire dans l’UMOA fait remarquer que la qualité du portefeuille des banques et établissements financiers à caractère bancaire de l'Union a connu une amélioration au cours du trimestre.
En effet, poursuit-il, le taux brut de dégradation du portefeuille est ressorti à 12,9% contre 14,0% à fin décembre 2017.
Et de préciser que le taux net, tenant compte de l'effort de provisionnement, s'est établi à 4,2% contre 5,6% au trimestre précédent.
Mariama Diallo