Selon plusieurs spécialistes, la BCEAO est un régulateur. En somme, elle vise la résilience. Elle considère que la résilience et la solidité des banques sont primordiales. C’est une première étape pour que les banques soient fortes. Il faut qu’elles aient des fonds propres de qualité pour qu’elles soient capables de développer des crédits. En effet, si nos banques ne sont pas suffisamment solide, suffisamment liquide, elles ne pourront être forcément de bons opérateurs économiques.
«Par conséquent, pour la banque centrale, il faut que les banques soient aux standards international parce qu’elles doivent couvrir des opérations de crédits, des opérations à l’exportation», note un habitué des places financières.
Ce qui fait qu’à un moment donnée, les gens qui sont à l’extérieur et qui vont ouvrir un compte dans la zone Uemoa, vont commencer à exiger le respect de l’ensemble des dispositions de Bâle II, Bâle III puisqu’on ne peut pas être dans notre monde tout seul et ne pas faire attention à ce qui se passe ailleurs.
«C’est une étape importante pour insérer les banques locales dans le tissu international», ajoute un autre.
Aussi, il est très important de savoir que jusqu’à présent, nos banques n’étaient pas suffisamment solides. En vérité, on a beaucoup de banques qui ne sont pas solides et qui ont des fonds propres de très faible qualité. Ce qui est un risque pour le système bancaire.
«Si on n’a pas eu jusqu’à présent des faillites de banques c’est parce que les Etats sont derrières», tranche un financier.
Mais le risque de faillite est une chose qui existe. Le fait de renforcer les fonds propres des banques est une excellente chose pour demain faciliter le crédit. L’idée de la banque centrale, c’est de renforcer la surveillance bancaire, renforcer le dispositif de surveillance globale des risques parce que dans le dispositif de Bâle II, Bâle III, on oblige les banques à avoir en interne un dispositif de surveillance des risques. Exiger les actionnaires des banques de renforcer les capitaux propres pour être suffisamment solides et c’est également rationaliser un peu mieux l’activité des banques parce qu’on va dire à un banquier, aujourd’hui en fonction de la nature du crédit que vous allez faire, on va vous exiger un niveau de fonds propres qui peut être différents.
«Donc en fonction de qui vous prêtez, la réglementation va vous exiger un niveau de fonds propres différents. Donc on essaie également de discipliner le marché bancaire. Globalement Bâle II, Bâle III est une bonne tendance, c’est une bonne évolution», diagnostique une spécialiste de la finance.
Ismaila BA
«Par conséquent, pour la banque centrale, il faut que les banques soient aux standards international parce qu’elles doivent couvrir des opérations de crédits, des opérations à l’exportation», note un habitué des places financières.
Ce qui fait qu’à un moment donnée, les gens qui sont à l’extérieur et qui vont ouvrir un compte dans la zone Uemoa, vont commencer à exiger le respect de l’ensemble des dispositions de Bâle II, Bâle III puisqu’on ne peut pas être dans notre monde tout seul et ne pas faire attention à ce qui se passe ailleurs.
«C’est une étape importante pour insérer les banques locales dans le tissu international», ajoute un autre.
Aussi, il est très important de savoir que jusqu’à présent, nos banques n’étaient pas suffisamment solides. En vérité, on a beaucoup de banques qui ne sont pas solides et qui ont des fonds propres de très faible qualité. Ce qui est un risque pour le système bancaire.
«Si on n’a pas eu jusqu’à présent des faillites de banques c’est parce que les Etats sont derrières», tranche un financier.
Mais le risque de faillite est une chose qui existe. Le fait de renforcer les fonds propres des banques est une excellente chose pour demain faciliter le crédit. L’idée de la banque centrale, c’est de renforcer la surveillance bancaire, renforcer le dispositif de surveillance globale des risques parce que dans le dispositif de Bâle II, Bâle III, on oblige les banques à avoir en interne un dispositif de surveillance des risques. Exiger les actionnaires des banques de renforcer les capitaux propres pour être suffisamment solides et c’est également rationaliser un peu mieux l’activité des banques parce qu’on va dire à un banquier, aujourd’hui en fonction de la nature du crédit que vous allez faire, on va vous exiger un niveau de fonds propres qui peut être différents.
«Donc en fonction de qui vous prêtez, la réglementation va vous exiger un niveau de fonds propres différents. Donc on essaie également de discipliner le marché bancaire. Globalement Bâle II, Bâle III est une bonne tendance, c’est une bonne évolution», diagnostique une spécialiste de la finance.
Ismaila BA