En effet, le fondateur de Performances Group qui intervenait sur le thème « Enjeux de l’exploitation de la donnée dans le secteur de l’assurance », à l’occasion de la 44ème assemblée générale de la Fédération des sociétés d’assurances de droit national africaines (Fanaf), trouve que l’assurance est un métier de données aussi bien pour l’évaluation des risques que pour la gestion des prestations.
Pour lui, « le virage numérique devrait ainsi entraîner un bouleversement complet de sa chaîne de valeur et de ses métiers ». Aussi, ajoute-t-il, une multitude d’informations permettra désormais de connaître de façon fine le comportement du client, ses besoins en assurance, ou encore les facteurs de risques liés à son environnement.
Il indique dans le même sillage que cette masse d’informations et l’automatisation des processus de gestion permettront demain de lui (le client) offrir un service personnalisé, sur-mesure, de meilleure qualité et à un coût moindre.
Cependant, M. Ndiaye souligne qu’il s’agit « d’un virage qu’il faudra parfaitement maîtriser, la transformation numérique ouvrant la porte à des risques inédits chez les assureurs ». Car, explique-t-il, comme dans tout schéma d’évolution, les plus lents, quelle que soit leur envergure, disparaîtront.
Victor Ndiaye « insiste donc sur l’urgence de la numérisation des processus, en exhortant les assureurs à faire preuve de plus d’agilité dans la planification, l’innovation et surtout dans le développement de partenariats, notamment face à une réglementation de plus en plus complexe ».
Bassirou MBAYE
Pour lui, « le virage numérique devrait ainsi entraîner un bouleversement complet de sa chaîne de valeur et de ses métiers ». Aussi, ajoute-t-il, une multitude d’informations permettra désormais de connaître de façon fine le comportement du client, ses besoins en assurance, ou encore les facteurs de risques liés à son environnement.
Il indique dans le même sillage que cette masse d’informations et l’automatisation des processus de gestion permettront demain de lui (le client) offrir un service personnalisé, sur-mesure, de meilleure qualité et à un coût moindre.
Cependant, M. Ndiaye souligne qu’il s’agit « d’un virage qu’il faudra parfaitement maîtriser, la transformation numérique ouvrant la porte à des risques inédits chez les assureurs ». Car, explique-t-il, comme dans tout schéma d’évolution, les plus lents, quelle que soit leur envergure, disparaîtront.
Victor Ndiaye « insiste donc sur l’urgence de la numérisation des processus, en exhortant les assureurs à faire preuve de plus d’agilité dans la planification, l’innovation et surtout dans le développement de partenariats, notamment face à une réglementation de plus en plus complexe ».
Bassirou MBAYE