S’exprimant à ce sujet, le directeur national de la BCEAO a fait savoir que les participants ont examiné les questions touchant au fonctionnement du système bancaire, notamment les questions de gouvernance. Au niveau des banques, Kozon Traoré précisera qu’il y a deux organes de gouvernance, que sont le conseil d’administration et la direction générale.
«Il y a une nouvelle circulaire de la commission bancaire qui est venue repréciser comment cette gouvernance doit être assurée avec une clarification des fonctions, une spécification des compétences requises pour exercer dans ces différents organes», a-t-il expliqué.
Cette circulaire est un document qui définit les normes par rapport au choix des administrateurs, aux questions d’éthique et de déontologie au niveau du personnel.
Au niveau du conseil d’administration, M. Traoré indiquera qu’il ne doit plus être administrateur qui veut. Pour cela, il faut avoir une certaine compétence notamment en matière de gestion du crédit, de comptabilité ; de maitriser la règlementation, le droit régissant l’activité des établissements du crédit, et surtout de l’analyse financière. «Il n’est pas dit que toutes ces compétences doivent être réunies par un seul administrateur, on joue sur la complémentarité», a ajouté le directeur national de la BCEAO.
Pour rappel, les participants ont passé en revue la circulaire sur la gouvernance des établissements de crédits. C’était lors la rencontre trimestrielle entre la Direction Nationale de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest et l’Association professionnelle des banques et établissements financiers du Mali (APBEF) qui s’est déroulée en juin dernier, au siège de la BCEAO à Bamako.
Mahamane Maïga
«Il y a une nouvelle circulaire de la commission bancaire qui est venue repréciser comment cette gouvernance doit être assurée avec une clarification des fonctions, une spécification des compétences requises pour exercer dans ces différents organes», a-t-il expliqué.
Cette circulaire est un document qui définit les normes par rapport au choix des administrateurs, aux questions d’éthique et de déontologie au niveau du personnel.
Au niveau du conseil d’administration, M. Traoré indiquera qu’il ne doit plus être administrateur qui veut. Pour cela, il faut avoir une certaine compétence notamment en matière de gestion du crédit, de comptabilité ; de maitriser la règlementation, le droit régissant l’activité des établissements du crédit, et surtout de l’analyse financière. «Il n’est pas dit que toutes ces compétences doivent être réunies par un seul administrateur, on joue sur la complémentarité», a ajouté le directeur national de la BCEAO.
Pour rappel, les participants ont passé en revue la circulaire sur la gouvernance des établissements de crédits. C’était lors la rencontre trimestrielle entre la Direction Nationale de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest et l’Association professionnelle des banques et établissements financiers du Mali (APBEF) qui s’est déroulée en juin dernier, au siège de la BCEAO à Bamako.
Mahamane Maïga