Dans un communiqué de presse, l’institution panafricaine de développement prévoit de « transformer les secteurs clés du continent en terrains d'opportunités accessibles, où les femmes, les filles, les hommes et les garçons, quelle que soit leur origine, bénéficient d'un accès et d'un contrôle égaux sur les ressources productives et bénéficient d'infrastructures et de services de soutien pour s'épanouir ».
Le document de 60 pages souligne, notamment, que la Banque mettra en œuvre sa stratégie tout en respectant ses engagements politiques émanant du Fonds africain de développement (Fad)-15 et de l’augmentation générale du capital de la Banque (Agc, en anglais).
La Banque entend dans sa stratégie renforcer l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes et des filles dans ses cinq domaines prioritaires, les « High 5 ». Elle entend intégrer la dimension genre dans toutes les opérations nationales et régionales. Elle s'efforcera aussi de classer 100 % de ses opérations du secteur public en utilisant le Gms (sigle anglais Gender marker system).
En outre, la Banque informe qu’elle réalisera les investissements nécessaires au déploiement de spécialistes de l'égalité des sexes, à la création de produits de connaissances sur l'égalité des sexes et au renforcement des capacités de son personnel pour garantir que les femmes, les hommes, les garçons et les filles bénéficient de manière égale des opérations financées par la Banque.
Une priorité sera aussi accordée aux interventions visant à renforcer l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes et des filles en se concentrant de manière sélective sur les domaines dans lesquels la Banque peut démontrer un avantage comparatif concret et une valeur ajoutée.
L’approche genre dans les pays membres sera renforcée et les interventions seront réalisées en tenant compte des contextes et des priorités de chaque pays. La Banque continuera, donc, à investir dans la production de données et de connaissances sur le genre spécifiques aux pays afin d'améliorer sa compréhension des contraintes propres à chaque pays.
Adou FAYE
Le document de 60 pages souligne, notamment, que la Banque mettra en œuvre sa stratégie tout en respectant ses engagements politiques émanant du Fonds africain de développement (Fad)-15 et de l’augmentation générale du capital de la Banque (Agc, en anglais).
La Banque entend dans sa stratégie renforcer l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes et des filles dans ses cinq domaines prioritaires, les « High 5 ». Elle entend intégrer la dimension genre dans toutes les opérations nationales et régionales. Elle s'efforcera aussi de classer 100 % de ses opérations du secteur public en utilisant le Gms (sigle anglais Gender marker system).
En outre, la Banque informe qu’elle réalisera les investissements nécessaires au déploiement de spécialistes de l'égalité des sexes, à la création de produits de connaissances sur l'égalité des sexes et au renforcement des capacités de son personnel pour garantir que les femmes, les hommes, les garçons et les filles bénéficient de manière égale des opérations financées par la Banque.
Une priorité sera aussi accordée aux interventions visant à renforcer l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes et des filles en se concentrant de manière sélective sur les domaines dans lesquels la Banque peut démontrer un avantage comparatif concret et une valeur ajoutée.
L’approche genre dans les pays membres sera renforcée et les interventions seront réalisées en tenant compte des contextes et des priorités de chaque pays. La Banque continuera, donc, à investir dans la production de données et de connaissances sur le genre spécifiques aux pays afin d'améliorer sa compréhension des contraintes propres à chaque pays.
Adou FAYE