La société ivoirienne de banque réalise un total de bilan de 835 811millions de FCFA au 30 juin 20l7, en progression de 9% par rapport au 1er semestre 2016. Les crédits de la clientèle se chiffrent à 550370 millions de FCFA contre 515 074 millions au 1er semestre 2016. Les dépôts de la clientèle suivent cette même tendance et se chiffrent à 664 984 millions en hausse de 19% par rapport au 1er semestre 2016. Quant au Produit net bancaire, il s'élève à 28 308 millions de FCFA au 30 juin 2017, contre 24269 millions de FCFA à fin juin 2016, soit une hausse de 4037 millions de FCFA.
Selon les dirigeants de la banque, le premier semestre 2017 se présente en nette amélioration par rapport à celui de l’exercice 2016 avec un total bilan en hausse soutenu par les progressions, à l’actif des crédits de 7% et au passif, des dépôts de 19%. Toutefois, l’activité de mise en place des crédits, reste généralement faible sur le premier semestre. Une situation qui s’explique principalement par le reflux de la campagne cacao. Le coût du risque ressort en ne augmentation (+1337 millions), en liaison avec les déclassements, principalement de deux clients ; l’un du secteur cacao dont le risque porte sur 1386 millions et l’autre pour environ 132 millions.
Accroissement des mises en place de crédits
Les perspectives restent bien orientées pour le second semestre avec l’accroissement des mises en place de crédits et les promesses de recouvrements de certaines créances, ce qui devrait permettre la réalisation de performances prévues au budget.
Adou Faye
Selon les dirigeants de la banque, le premier semestre 2017 se présente en nette amélioration par rapport à celui de l’exercice 2016 avec un total bilan en hausse soutenu par les progressions, à l’actif des crédits de 7% et au passif, des dépôts de 19%. Toutefois, l’activité de mise en place des crédits, reste généralement faible sur le premier semestre. Une situation qui s’explique principalement par le reflux de la campagne cacao. Le coût du risque ressort en ne augmentation (+1337 millions), en liaison avec les déclassements, principalement de deux clients ; l’un du secteur cacao dont le risque porte sur 1386 millions et l’autre pour environ 132 millions.
Accroissement des mises en place de crédits
Les perspectives restent bien orientées pour le second semestre avec l’accroissement des mises en place de crédits et les promesses de recouvrements de certaines créances, ce qui devrait permettre la réalisation de performances prévues au budget.
Adou Faye