Ce bénéfice est ainsi ressorti à 94,672 milliards FCFA contre 72,016 milliards FCFA au 30 juin 2017, soit une forte hausse de 37% en valeur relative. Commentant ces résultats Ade Ayeyemi, directeur général du Groupe a déclaré : « Ces résultats se font l’écho des remarquables réalisations que nous accomplissons déjà dans la phase d’exécution de notre stratégie. Pour le premier semestre de l’exercice, l’entreprise a généré 213 millions $EU de bénéfices avant impôt, soit une augmentation de 41 % par rapport à la même période de l’exercice précédent et un rendement des capitaux propres sur actif corporel total de 20,9 %.
Le produit net bancaire est de son coté en très légère baisse de 0,1% passant de 532,357 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 511,649 milliards de FCFA en juin 2018.
Au 30 juin 2018, les dépôts de la clientèle ont augmenté de 2% passant de 7957,986 milliards de FCFA à 8691,285 en juin 2018. Les créances détenues par la banque sur sa clientèle avec sont en baisse de 6% passant de 5448,587 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 4935,570 milliards FCFA en juin 2018.
Toujours selon Ade Ayeyemi, les niveaux d’activité de la clientèle que nous avons constatés dans la plupart de nos activités et en particulier dans la génération de dépôts ont été encourageants. Les dépôts ont ainsi augmenté de 12 % à taux de change constant, améliorant la liquidité de l’entreprise et sa capacité de prêt aux clients. Les efforts immenses que nous avons déployés pour améliorer la qualité des actifs portent également leurs fruits. Nous avons commencé à enregistrer des améliorations dans notre portefeuille de crédit, ce qui se traduit par une diminution des provisions pour créances douteuses pour la période
Au niveau des charges d’exploitation, on note une baisse de 2%. Elles passent ainsi de 322,729 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 316,644 milliards de FCFA en juin 2018. Quant au coût du risque, il a baissé de 35%, passant de 121,159 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 75, 526 milliards FCFA en juin 2018.
Enfin, le 14 juin, indique le directeur général du Groupe Ecobank, la banque panafricaine a annoncé son intention d’organiser des réunions avec des investisseurs obligataires, lesquelles pourraient déboucher, si les conditions du marché le permettent, en une émission d’obligations de premier rang non garanties à cinq ans libellées en USD. Malgré des réunions positives avec les investisseurs, les conditions du marché étaient difficiles, en raison des augmentations de taux d’intérêt aux États-Unis et de la correction sur le marché de la dette émergente. Nous avons donc retardé l’émission en attendant une amélioration des conditions de marché. »
Adou Faye
Le produit net bancaire est de son coté en très légère baisse de 0,1% passant de 532,357 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 511,649 milliards de FCFA en juin 2018.
Au 30 juin 2018, les dépôts de la clientèle ont augmenté de 2% passant de 7957,986 milliards de FCFA à 8691,285 en juin 2018. Les créances détenues par la banque sur sa clientèle avec sont en baisse de 6% passant de 5448,587 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 4935,570 milliards FCFA en juin 2018.
Toujours selon Ade Ayeyemi, les niveaux d’activité de la clientèle que nous avons constatés dans la plupart de nos activités et en particulier dans la génération de dépôts ont été encourageants. Les dépôts ont ainsi augmenté de 12 % à taux de change constant, améliorant la liquidité de l’entreprise et sa capacité de prêt aux clients. Les efforts immenses que nous avons déployés pour améliorer la qualité des actifs portent également leurs fruits. Nous avons commencé à enregistrer des améliorations dans notre portefeuille de crédit, ce qui se traduit par une diminution des provisions pour créances douteuses pour la période
Au niveau des charges d’exploitation, on note une baisse de 2%. Elles passent ainsi de 322,729 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 316,644 milliards de FCFA en juin 2018. Quant au coût du risque, il a baissé de 35%, passant de 121,159 milliards de FCFA au 30 juin 2017 à 75, 526 milliards FCFA en juin 2018.
Enfin, le 14 juin, indique le directeur général du Groupe Ecobank, la banque panafricaine a annoncé son intention d’organiser des réunions avec des investisseurs obligataires, lesquelles pourraient déboucher, si les conditions du marché le permettent, en une émission d’obligations de premier rang non garanties à cinq ans libellées en USD. Malgré des réunions positives avec les investisseurs, les conditions du marché étaient difficiles, en raison des augmentations de taux d’intérêt aux États-Unis et de la correction sur le marché de la dette émergente. Nous avons donc retardé l’émission en attendant une amélioration des conditions de marché. »
Adou Faye