A chaque saison, ses risques et catastrophes. Ici, ce sont les inondations pendant l’hivernage, les accidents de la circulation, là, les cas d’incendies pendant la période de chaleur, la sécheresse ou encore l’invasion acridienne des zones agricoles. Voilà autant de catastrophes naturelles auxquelles qui surviennent si on ne les prévient pas.
C‘est ainsi que depuis la conférence de Hyogo à Kyoto au Japon, le Mali a décidé de limiter de façon considérablement les risques de catastrophes. Avec la formalisation de la plateforme ce sont plusieurs corps de métiers qui s’y retrouvent. Cheick Fanta Mady Koné, agent de la protection civile et coordinateur de la plateforme, se dit « heureux de la formalisation de la plateforme ».
Dans la gestion des catastrophes, plusieurs corporations interviennent. Chacune sera tenue de s’organiser à son niveau, avant d’atteindre le niveau de la plateforme qui coordonne les efforts.
Sans budget réel, la plateforme permettra toutefois de collecter les informations auprès des communautés, d’établir la cartographie des zones à risque et de se positionner pour parer à toutes les éventualités.
Mimi Diawando
C‘est ainsi que depuis la conférence de Hyogo à Kyoto au Japon, le Mali a décidé de limiter de façon considérablement les risques de catastrophes. Avec la formalisation de la plateforme ce sont plusieurs corps de métiers qui s’y retrouvent. Cheick Fanta Mady Koné, agent de la protection civile et coordinateur de la plateforme, se dit « heureux de la formalisation de la plateforme ».
Dans la gestion des catastrophes, plusieurs corporations interviennent. Chacune sera tenue de s’organiser à son niveau, avant d’atteindre le niveau de la plateforme qui coordonne les efforts.
Sans budget réel, la plateforme permettra toutefois de collecter les informations auprès des communautés, d’établir la cartographie des zones à risque et de se positionner pour parer à toutes les éventualités.
Mimi Diawando