Le PEJM est une initiative d’éducation internationale financée par le ministère des Affaires mondiales du Canada à hauteur d’un peu plus de 3, 5 milliards de FCFA pour une durée de 5 ans. Il s’inscrit dans les orientations politiques et économiques du gouvernement. Le projet vise aussi à contribuer à la réduction de la pauvreté, améliorer l’employabilité des jeunes hommes et femmes vulnérables du District de Bamako et des Régions de Kayes, Koulikoro et Sikasso par la formation professionnelle qualifiante dans les domaines de la transformation agroalimentaire, la mécanique de véhicules et la construction métallique.
Par ailleurs, le PEJM bénéficiera de 160 directeurs de centres de formation professionnelle dont 44 femmes, 1 100 élèves en formation professionnelle, dont 280 femmes et 102 enseignants des structures appuyées et autres dont 34 femmes.
Pour l’atteinte des résultats, le ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle a expliqué que les actions du PEJM ont été structurées autour de trois composantes. Il s’agit de l’offre accrue de formations professionnelles qualifiantes accessibles et répondant aux besoins du marché du travail. L’accès accru à des programmes de formation professionnelle dispensés par des formateurs compétents et la capacité accrue des organismes d’appui à l’insertion professionnelle et des centres de formation professionnelle à appuyer les jeunes dans leur insertion au marché du travail sont aussi des challenges importants, a relevé le ministre.
Mahamane Maïga
Par ailleurs, le PEJM bénéficiera de 160 directeurs de centres de formation professionnelle dont 44 femmes, 1 100 élèves en formation professionnelle, dont 280 femmes et 102 enseignants des structures appuyées et autres dont 34 femmes.
Pour l’atteinte des résultats, le ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle a expliqué que les actions du PEJM ont été structurées autour de trois composantes. Il s’agit de l’offre accrue de formations professionnelles qualifiantes accessibles et répondant aux besoins du marché du travail. L’accès accru à des programmes de formation professionnelle dispensés par des formateurs compétents et la capacité accrue des organismes d’appui à l’insertion professionnelle et des centres de formation professionnelle à appuyer les jeunes dans leur insertion au marché du travail sont aussi des challenges importants, a relevé le ministre.
Mahamane Maïga