Il a lancé cet appel à l’ouverture de la concertation régionale de quatre jours, débuté ce lundi 30 septembre au siège de la Banque Centrale, à Dakar.
Selon celui, ce nouveau système viendra compléter et enrichir les infrastructures financières de l’Union (SIC1-UEMOA et STAR-UEMOA) pour apporter aux populations des services de paiement de proximité à coût abordable, plus rapide, qui offrent une connectivité totale à tous les types de paiements numériques.
Un arsenal qui doit contribuer à renforcer l’inclusion financière dans l’Union. A son avis, les experts sont unanimes pour dire que des paiements plus rapides sont importants pour améliorer les performances économiques des entreprises et des Etats.
Selon Abdoulaye Diop, les travaux de cette concertation régionale permettront de finaliser le plan de développement du projet d’interopérabilité des services financiers numériques. Pour lui, les feuilles de routes issues de ce plan traduiront les défis à relever avant et après le lancement du nouveau système interopérable. Des défis qui concernent la sécurité globale du système, la tarification des services interopérables et les commissions d’interchange, la qualité des services, la mise en œuvre d’une stratégie de communication, l’adoption rapide du cadre réglementaire de l’interopérabilité et la mise en place de la gouvernance du système.
A cet effet, le Représentant résident de la Banque Africaine de Développement au Sénégal, M. Adam Amoumoun estime que ce projet d’interopérabilité parait ambitieux et complexe mais il est d’une importance capitale.
A l’en croire, il vise l’inclusion financière de l’Union à travers le développement de l’écosystème des services financiers et l’intégration régionale de tous les moyens de paiement. Sa portée des impacts sur le développement est d’une envergure majeure.
D’où l’importance de cette concertation régionale qui, de l’avis du Directeur général de la stabilité et de l’inclusion financière, M. Ousmane Samba Mamadou, marque l’aboutissement d’un point de cadrage du projet.
Durant les quatre jours, les spécialistes et acteurs engagés dans la mise en œuvre vont à travers une plénières et des ateliers pour mesurer l’état d’avancement du projet, les résultats sur les réflexions menées sur les règles fonctionnels, sur le modèle économique, sur l’architecture technique de la plateforme….
Pour rappel, au regard de l’essor des offres de services financiers électroniques innovants, la Banque centrale des états de l’Afrique de l’ouest a initié un projet d’interopérabilité des services financiers numériques en avril 2017 avec l’appui de la Banque africaine de développement et de la Fondation Bill &Melinda Gates.
D’un coût global de neuf millions six cent mille (9,6 millions) de dollars US, ce projet vise l’extension de l’interopérabilité monétique à l’ensemble des services financiers numériques.
Oumar Nourou
Selon celui, ce nouveau système viendra compléter et enrichir les infrastructures financières de l’Union (SIC1-UEMOA et STAR-UEMOA) pour apporter aux populations des services de paiement de proximité à coût abordable, plus rapide, qui offrent une connectivité totale à tous les types de paiements numériques.
Un arsenal qui doit contribuer à renforcer l’inclusion financière dans l’Union. A son avis, les experts sont unanimes pour dire que des paiements plus rapides sont importants pour améliorer les performances économiques des entreprises et des Etats.
Selon Abdoulaye Diop, les travaux de cette concertation régionale permettront de finaliser le plan de développement du projet d’interopérabilité des services financiers numériques. Pour lui, les feuilles de routes issues de ce plan traduiront les défis à relever avant et après le lancement du nouveau système interopérable. Des défis qui concernent la sécurité globale du système, la tarification des services interopérables et les commissions d’interchange, la qualité des services, la mise en œuvre d’une stratégie de communication, l’adoption rapide du cadre réglementaire de l’interopérabilité et la mise en place de la gouvernance du système.
A cet effet, le Représentant résident de la Banque Africaine de Développement au Sénégal, M. Adam Amoumoun estime que ce projet d’interopérabilité parait ambitieux et complexe mais il est d’une importance capitale.
A l’en croire, il vise l’inclusion financière de l’Union à travers le développement de l’écosystème des services financiers et l’intégration régionale de tous les moyens de paiement. Sa portée des impacts sur le développement est d’une envergure majeure.
D’où l’importance de cette concertation régionale qui, de l’avis du Directeur général de la stabilité et de l’inclusion financière, M. Ousmane Samba Mamadou, marque l’aboutissement d’un point de cadrage du projet.
Durant les quatre jours, les spécialistes et acteurs engagés dans la mise en œuvre vont à travers une plénières et des ateliers pour mesurer l’état d’avancement du projet, les résultats sur les réflexions menées sur les règles fonctionnels, sur le modèle économique, sur l’architecture technique de la plateforme….
Pour rappel, au regard de l’essor des offres de services financiers électroniques innovants, la Banque centrale des états de l’Afrique de l’ouest a initié un projet d’interopérabilité des services financiers numériques en avril 2017 avec l’appui de la Banque africaine de développement et de la Fondation Bill &Melinda Gates.
D’un coût global de neuf millions six cent mille (9,6 millions) de dollars US, ce projet vise l’extension de l’interopérabilité monétique à l’ensemble des services financiers numériques.
Oumar Nourou