Le programme énergétique 2018-2023 s’étale sur une période de 5 ans. Son coût de réalisation est estimé à 373 milliards de FCFA dont plus de 170 milliards de FCFA acquis.
Un plan d’investissement qui prévoit la réalisation de centrales solaires et l’extension de réseaux de réseau de distribution d’eau potable et d’électricité.
Le programme est un ambitieux projet qui vise à développer les stratégies pour augmenter la déserte en eau et en électricité ainsi que la maîtrise du coût d’accès à ses services. C’est pourquoi le gouvernement entend rendre hybrides les centrales thermiques au niveau des capitales régionales et des chefs lieux de cercle et construire des centrales solaires et éoliennes.
Selon le ministre dé l’Energie et de l’Eau, le gouvernement s’est inscrit dans une transition énergétique qui utilise l’énergie solaire et éolienne dont le pays dispose un potentiel énorme.
Lors de la rencontre, il s’agissait de proposer aux acteurs du secteur privé tout ce que le département veut développer en matière d’énergie solaire. L’exercice consiste à amener les opérateurs économiques à participer à la concrétisation du programme d’actions prioritaires des projets structurants dans le domaine de l’Energie et de l’Eau, a expliqué Sambou Wagué.
Aussi, il a réaffirmé la baisse du coût de la production de l’énergie et de l’eau au Mali. Il s’est également réjoui de l’intérêt dont ont fait montre les opérateurs économiques, notamment leur participation à la réalisation des ouvrages de l’électrification.
En réponse, des opérateurs économiques ont posé beaucoup de questions pour mieux appréhender le processus. Et le président du Conseil national du patronat du Mali (CNPM), Mamadou Sinsy Coulibaly de se prononcer. « Le plus important, c’est d’échanger avec le gouvernement sur les mesures qui doivent être prises pour sécuriser et protéger les investisseurs qui souhaitent intervenir dans le secteur, afin que le coût de l’eau et de l’électricité soit amortie au bénéfice des populations », a-t-il fait savoir.
Mahamane Maïga
Un plan d’investissement qui prévoit la réalisation de centrales solaires et l’extension de réseaux de réseau de distribution d’eau potable et d’électricité.
Le programme est un ambitieux projet qui vise à développer les stratégies pour augmenter la déserte en eau et en électricité ainsi que la maîtrise du coût d’accès à ses services. C’est pourquoi le gouvernement entend rendre hybrides les centrales thermiques au niveau des capitales régionales et des chefs lieux de cercle et construire des centrales solaires et éoliennes.
Selon le ministre dé l’Energie et de l’Eau, le gouvernement s’est inscrit dans une transition énergétique qui utilise l’énergie solaire et éolienne dont le pays dispose un potentiel énorme.
Lors de la rencontre, il s’agissait de proposer aux acteurs du secteur privé tout ce que le département veut développer en matière d’énergie solaire. L’exercice consiste à amener les opérateurs économiques à participer à la concrétisation du programme d’actions prioritaires des projets structurants dans le domaine de l’Energie et de l’Eau, a expliqué Sambou Wagué.
Aussi, il a réaffirmé la baisse du coût de la production de l’énergie et de l’eau au Mali. Il s’est également réjoui de l’intérêt dont ont fait montre les opérateurs économiques, notamment leur participation à la réalisation des ouvrages de l’électrification.
En réponse, des opérateurs économiques ont posé beaucoup de questions pour mieux appréhender le processus. Et le président du Conseil national du patronat du Mali (CNPM), Mamadou Sinsy Coulibaly de se prononcer. « Le plus important, c’est d’échanger avec le gouvernement sur les mesures qui doivent être prises pour sécuriser et protéger les investisseurs qui souhaitent intervenir dans le secteur, afin que le coût de l’eau et de l’électricité soit amortie au bénéfice des populations », a-t-il fait savoir.
Mahamane Maïga