Le «Programme d’infrastructures économiques : mandature 2018-2023» verra, à termes, la réalisation de 8.700 km de route et six ponts à travers le pays pour un coût global évalué à 5.500 milliards de FCFA. Pour y parvenir, le gouvernement compte sur le secteur privé national.
La concrétisation de ces projets qui s’inscrivent dans le cadre du volet : «Transformer le Mali» et «Servir les Maliens» du projet de société du président de la République, exige d’être en phase avec les acteurs économiques qui ont un rôle prépondérant dans la réalisation des infrastructures et la création de richesses, a justifié le chef du gouvernement en s’adressant aux hommes d’affaires.
Rappelons que chacune de nos régions est adossée à un espace transfrontalier qui est un marché naturel. C’est pourquoi favoriser les échanges, l’évacuation de la production à l’intérieur et avec nos voisins à travers différentes chaines de valeur renforcera «la compétitivité de nos différents territoires» et drainera «un afflux d’investissement», a dit le Premier ministre.
Estimant que ce programme doit, au regard de son importance, être cristallisé dans une «Loi de programmation quinquennale de manière à ce qu’il soit admis de tous que ces infrastructures sont indispensables pour le pays et n’ont rien à voir avec les orientations politiques des uns et des autres».
Notre pays est membre de l’UEMOA et de la CEDEAO. Il pourrait, dans un avenir proche ou lointain, appartenir à un autre vaste ensemble commercial : la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).
Pour préparer ce changement important dans le secteur de l’économie, la Commission économique pour l’Afrique (CEA) des Nation unies a formulé des recommandations devant permettre aux pays concernés de commercer entre eux.
Selon les experts de la CEA, l’un de ces conseils est l’élaboration de stratégies nationales pour soutenir la mise en œuvre effective de la ZLECA afin de pouvoir tirer parti de ses retombées positives potentielles pour le développement industriel.
Mahamane Maïga
La concrétisation de ces projets qui s’inscrivent dans le cadre du volet : «Transformer le Mali» et «Servir les Maliens» du projet de société du président de la République, exige d’être en phase avec les acteurs économiques qui ont un rôle prépondérant dans la réalisation des infrastructures et la création de richesses, a justifié le chef du gouvernement en s’adressant aux hommes d’affaires.
Rappelons que chacune de nos régions est adossée à un espace transfrontalier qui est un marché naturel. C’est pourquoi favoriser les échanges, l’évacuation de la production à l’intérieur et avec nos voisins à travers différentes chaines de valeur renforcera «la compétitivité de nos différents territoires» et drainera «un afflux d’investissement», a dit le Premier ministre.
Estimant que ce programme doit, au regard de son importance, être cristallisé dans une «Loi de programmation quinquennale de manière à ce qu’il soit admis de tous que ces infrastructures sont indispensables pour le pays et n’ont rien à voir avec les orientations politiques des uns et des autres».
Notre pays est membre de l’UEMOA et de la CEDEAO. Il pourrait, dans un avenir proche ou lointain, appartenir à un autre vaste ensemble commercial : la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).
Pour préparer ce changement important dans le secteur de l’économie, la Commission économique pour l’Afrique (CEA) des Nation unies a formulé des recommandations devant permettre aux pays concernés de commercer entre eux.
Selon les experts de la CEA, l’un de ces conseils est l’élaboration de stratégies nationales pour soutenir la mise en œuvre effective de la ZLECA afin de pouvoir tirer parti de ses retombées positives potentielles pour le développement industriel.
Mahamane Maïga