Les panélistes, y compris les ministres du Sénégal, de l’Ouganda et du Lesotho, conviennent que l’Afrique a la capacité de trouver des solutions pour relever ses défis, d’autant que celle-ci est dotée d’énormes ressources naturelles et humaines.
«Ce que nous devons faire en tant que continent, c’est de réexaminer nos politiques, dont la plupart ne fonctionnent pas et ne répondent pas aux besoins de nos populations, en particulier de la jeunesse», déclare Chris Baryomunsi, Ministre ougandais des affaires publiques.
La bonne gouvernance, conviennent les panélistes, est également très importante si le continent devait réaliser avec succès le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et veiller à ce que personne ne soit laissé pour compte par le progrès.
Le Ministre du gouvernement local du Lesotho, HabofanoeLehana, dit que l’Afrique connaît une urbanisation rapide et que les politiciens ne doivent pas forcer les gens à rester dans les zones rurales mais qu’ils doivent fournir les services requis dans les villes.
«En capitalisant sur la compétitivité régionale de l’Afrique, nous devons utiliser ce phénomène d’urbanisation, qui peut être exploité pour le développement durable», indique-t-il, ajoutant que les interventions urbaines en Afrique exigent une reconnaissance égale des populations urbaines et rurales. MameThiernoDieng, Ministre sénégalais de l’environnement, informe que son pays fait de son mieux pour harmoniser les lois nationales et les Agendas 2030 et 2063 afin de mettre pleinement en œuvre le programme des ODD dans l’intérêt de tous.
SaidKambi, Président directeur général du Réseau de gouvernance des entreprises en Afrique, souligne l’importance de la bonne gouvernance pour que l’Afrique résolve ses innombrables défis et veille à ce que personne ne soit laissé pour compte.
Il dit que le continent doit s’efforcer de trouver des solutions Afrocentriques à ses problèmes, en particulier le financement de son développement.
«Les financements provenant de l’extérieur ne facilitent pas la transformation rapide souhaitée dans nos pays, destinée à améliorer la qualité de vie de nos populations», indique Kambi, ajoutant que le financement local novateur doit être priorisé ainsi que le renforcement des partenariats qui profiteront au continent.
Il souligne la centralité du secteur privé pour garantir que l’Afrique réalise les ODD.
Le FRADD est une plate-forme intergouvernementale et multipartite et a pour objectif d’examiner les progrès de la mise en œuvre des ODD, de partager les expériences et les leçons apprises et de parvenir à un consensus pour accélérer la réalisation des objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et des objectifs de l’Agenda 2063.
Pathé TOURE
«Ce que nous devons faire en tant que continent, c’est de réexaminer nos politiques, dont la plupart ne fonctionnent pas et ne répondent pas aux besoins de nos populations, en particulier de la jeunesse», déclare Chris Baryomunsi, Ministre ougandais des affaires publiques.
La bonne gouvernance, conviennent les panélistes, est également très importante si le continent devait réaliser avec succès le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et veiller à ce que personne ne soit laissé pour compte par le progrès.
Le Ministre du gouvernement local du Lesotho, HabofanoeLehana, dit que l’Afrique connaît une urbanisation rapide et que les politiciens ne doivent pas forcer les gens à rester dans les zones rurales mais qu’ils doivent fournir les services requis dans les villes.
«En capitalisant sur la compétitivité régionale de l’Afrique, nous devons utiliser ce phénomène d’urbanisation, qui peut être exploité pour le développement durable», indique-t-il, ajoutant que les interventions urbaines en Afrique exigent une reconnaissance égale des populations urbaines et rurales. MameThiernoDieng, Ministre sénégalais de l’environnement, informe que son pays fait de son mieux pour harmoniser les lois nationales et les Agendas 2030 et 2063 afin de mettre pleinement en œuvre le programme des ODD dans l’intérêt de tous.
SaidKambi, Président directeur général du Réseau de gouvernance des entreprises en Afrique, souligne l’importance de la bonne gouvernance pour que l’Afrique résolve ses innombrables défis et veille à ce que personne ne soit laissé pour compte.
Il dit que le continent doit s’efforcer de trouver des solutions Afrocentriques à ses problèmes, en particulier le financement de son développement.
«Les financements provenant de l’extérieur ne facilitent pas la transformation rapide souhaitée dans nos pays, destinée à améliorer la qualité de vie de nos populations», indique Kambi, ajoutant que le financement local novateur doit être priorisé ainsi que le renforcement des partenariats qui profiteront au continent.
Il souligne la centralité du secteur privé pour garantir que l’Afrique réalise les ODD.
Le FRADD est une plate-forme intergouvernementale et multipartite et a pour objectif d’examiner les progrès de la mise en œuvre des ODD, de partager les expériences et les leçons apprises et de parvenir à un consensus pour accélérer la réalisation des objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et des objectifs de l’Agenda 2063.
Pathé TOURE