Dans un entretien précédant la 10ème session du Comité sur la coopération et de l’intégration régionales (CRCI10) qui se tiendra à Addis-Abeba, du 31 octobre au 2 novembre 2017, Karingi dit que des progrès importants ont été réalisés jusqu’à présent en ce qui concerne la création de la ZLEC.
La ZLEC réunira tous les pays africains avec une population totale de plus d’un milliard de personnes et affichera un produit intérieur brut total de plus de 3 400 milliards de dollars américains une fois créée.
Avec la ZLEC, les dirigeants africains visent, entre autres, à créer un marché continental unique pour les biens et les services, une libre circulation des hommes d’affaires et des investissements et à développer un commerce intra-africain. La ZLEC devrait également améliorer la compétitivité aux niveaux de l’industrie et de l’entreprise.
«Si la ZLEC dont la mise en œuvre permettrait de résoudre les problèmes de développement de l’Afrique, n’est pas une solution miracle, il importe de reconnaitre que l’adoption et la mise en œuvre de la ZLEC sont certainement la bonne démarche et opportunes pour faire progresser le programme de développement du continent», indique Karingi, qui est également le Directeur de la Division du renforcement des capacités de la CEA.
La dixième session du Comité et les précédentes réunions du groupe d’experts seront consacrées à des questions d’actualité pertinentes concernant l’avenir de la ZLEC.
Le Comité examinera également les développements intervenus dans le domaine du commerce international et les progrès accomplis par les pays africains dans les domaines de l’intégration régionale, des infrastructures et de la sécurité alimentaire, de l’agriculture et du foncier.
Pathé TOURE
La ZLEC réunira tous les pays africains avec une population totale de plus d’un milliard de personnes et affichera un produit intérieur brut total de plus de 3 400 milliards de dollars américains une fois créée.
Avec la ZLEC, les dirigeants africains visent, entre autres, à créer un marché continental unique pour les biens et les services, une libre circulation des hommes d’affaires et des investissements et à développer un commerce intra-africain. La ZLEC devrait également améliorer la compétitivité aux niveaux de l’industrie et de l’entreprise.
«Si la ZLEC dont la mise en œuvre permettrait de résoudre les problèmes de développement de l’Afrique, n’est pas une solution miracle, il importe de reconnaitre que l’adoption et la mise en œuvre de la ZLEC sont certainement la bonne démarche et opportunes pour faire progresser le programme de développement du continent», indique Karingi, qui est également le Directeur de la Division du renforcement des capacités de la CEA.
La dixième session du Comité et les précédentes réunions du groupe d’experts seront consacrées à des questions d’actualité pertinentes concernant l’avenir de la ZLEC.
Le Comité examinera également les développements intervenus dans le domaine du commerce international et les progrès accomplis par les pays africains dans les domaines de l’intégration régionale, des infrastructures et de la sécurité alimentaire, de l’agriculture et du foncier.
Pathé TOURE