Il ressort que le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle évalue le niveau global des recettes attendues de l’Etat par grandes catégories d’impôts et de taxes et les dépenses budgétaires par grandes catégories de dépenses.
Il indique également l’évolution de la dette du secteur public et fixe les objectifs d’équilibre budgétaire et financier sur le moyen terme.
Aussi, le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle informe sur les objectifs de la politique budgétaire sur la période de cadrage, tout en précisant les mesures de soutenabilité des finances publiques et d’accompagnement de la croissance économique.
Il permet au Gouvernement d’informer les députés sur l’évolution des finances publiques et de partager avec eux sa vision de la politique budgétaire à moyen terme ainsi que les contraintes budgétaires.
« Le présent document s’inscrit dans la consolidation des actions entamées dans le Cadre Stratégique pour la Relance économique et le Développement durable au Mali.Il est établi sur la base d’une prévision de croissance réelle de 4,7% en moyenne et un taux de pression fiscale de 16,9% en moyenne sur la période 2019-2021 », indique le communiqué.
Sur cette période, la politique budgétaire sera soumise à des contraintes diverses et variées liées notamment au respect des critères de convergence communautaire de l’UEMOA et de la CEDEAO, à la mise en œuvre des engagements avec le FMI dans le cadre du Programme économique et financier et au service de la dette intérieure.
Le document préconise la mobilisation soutenue des ressources internes et la maîtrise des dépenses courantes.
L’on précise que les dépenses seront orientées vers la prise en charge des engagements du Gouvernement parmi lesquels la priorité sera accordée en termes d’allocations budgétaires, notamment : à la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali issu du processus d’Alger, de la Loi d’Orientation et de Programmation Militaire et de la Loi d’Orientation et de Programmation relative à la Sécurité Intérieure ; à l’allocation de 15% du budget au secteur de l’Agriculture.
Les autres besoins sont relatifs au financement des investissements structurants dans les secteurs productifs ; à la consolidation des acquis dans les secteurs sociaux ; au renforcement des allocations pour la décentralisation budgétaire en vue de l’atteinte de 30% des recettes budgétaires transférées aux collectivités territoriales.
Mahamane Maïga
Il indique également l’évolution de la dette du secteur public et fixe les objectifs d’équilibre budgétaire et financier sur le moyen terme.
Aussi, le document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle informe sur les objectifs de la politique budgétaire sur la période de cadrage, tout en précisant les mesures de soutenabilité des finances publiques et d’accompagnement de la croissance économique.
Il permet au Gouvernement d’informer les députés sur l’évolution des finances publiques et de partager avec eux sa vision de la politique budgétaire à moyen terme ainsi que les contraintes budgétaires.
« Le présent document s’inscrit dans la consolidation des actions entamées dans le Cadre Stratégique pour la Relance économique et le Développement durable au Mali.Il est établi sur la base d’une prévision de croissance réelle de 4,7% en moyenne et un taux de pression fiscale de 16,9% en moyenne sur la période 2019-2021 », indique le communiqué.
Sur cette période, la politique budgétaire sera soumise à des contraintes diverses et variées liées notamment au respect des critères de convergence communautaire de l’UEMOA et de la CEDEAO, à la mise en œuvre des engagements avec le FMI dans le cadre du Programme économique et financier et au service de la dette intérieure.
Le document préconise la mobilisation soutenue des ressources internes et la maîtrise des dépenses courantes.
L’on précise que les dépenses seront orientées vers la prise en charge des engagements du Gouvernement parmi lesquels la priorité sera accordée en termes d’allocations budgétaires, notamment : à la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation au Mali issu du processus d’Alger, de la Loi d’Orientation et de Programmation Militaire et de la Loi d’Orientation et de Programmation relative à la Sécurité Intérieure ; à l’allocation de 15% du budget au secteur de l’Agriculture.
Les autres besoins sont relatifs au financement des investissements structurants dans les secteurs productifs ; à la consolidation des acquis dans les secteurs sociaux ; au renforcement des allocations pour la décentralisation budgétaire en vue de l’atteinte de 30% des recettes budgétaires transférées aux collectivités territoriales.
Mahamane Maïga