Selon les initiateurs, le coût des installations de ce centre est de deux milliards de francs CFA (soit plus de 3 millions d’euros), financés par les Etats-Unis d’Amérique. La mise sur pied d’un tel centre vient à point nommé. Désormais, les Etats membres de la CEDEAO auront à partager les informations en temps réel.
Ce centre a pour objectif de collecter, analyser et traiter dans la célérité les informations dans le domaine de la sécurité. Aussi, ce nouvel outil pourra permettre d’éviter des attentats terroristes dans tel ou tel autre pays. Ou encore éviter la propagation d’épidémies à travers les activités de prévention et d’alerte précoce.
Pour rappel, le Commissaire en charge des questions macroéconomiques, représentant la Commission de la CEDEAO, Mamadou Traoré a indiqué que les États de la sous-région ont pris, individuellement, plusieurs mesures nationales pour prévenir et combattre le terrorisme.
Selon Mamadou Traoré, certains pays ont adopté de nouvelles législations nationales tandis que d’autres ont renforcé les aspects pertinents de leur Code pénal afin de criminaliser le phénomène.
«Malgré ces mesures prises, les États de la Communauté continuent à faire face à la menace croissante du terrorisme qui s’entrelace avec d’autres actes criminels tels que le blanchiment de capitaux, la contrebande et la prolifération d’armes ou encore le trafic de stupéfiants et de personnes», a-t-il déploré.
Le représentant de la Commission de la CEDEAO a également souligné que la violence liée à l’extrémisme religieux peut produire un désastre aux conséquences multidimensionnelles sur une société et la réponse appelle une approche intégrée, coordonnée et concertée.
Mahamane MAIGA
Ce centre a pour objectif de collecter, analyser et traiter dans la célérité les informations dans le domaine de la sécurité. Aussi, ce nouvel outil pourra permettre d’éviter des attentats terroristes dans tel ou tel autre pays. Ou encore éviter la propagation d’épidémies à travers les activités de prévention et d’alerte précoce.
Pour rappel, le Commissaire en charge des questions macroéconomiques, représentant la Commission de la CEDEAO, Mamadou Traoré a indiqué que les États de la sous-région ont pris, individuellement, plusieurs mesures nationales pour prévenir et combattre le terrorisme.
Selon Mamadou Traoré, certains pays ont adopté de nouvelles législations nationales tandis que d’autres ont renforcé les aspects pertinents de leur Code pénal afin de criminaliser le phénomène.
«Malgré ces mesures prises, les États de la Communauté continuent à faire face à la menace croissante du terrorisme qui s’entrelace avec d’autres actes criminels tels que le blanchiment de capitaux, la contrebande et la prolifération d’armes ou encore le trafic de stupéfiants et de personnes», a-t-il déploré.
Le représentant de la Commission de la CEDEAO a également souligné que la violence liée à l’extrémisme religieux peut produire un désastre aux conséquences multidimensionnelles sur une société et la réponse appelle une approche intégrée, coordonnée et concertée.
Mahamane MAIGA