L’information est partagée par le Directeur général de CGF Bourse. C’était lors de la cérémonie de clôture de l’emprunt obligataire par appel public à l’épargne (Senelec 6,5% 2018-2025). Une cérémonie à laquelle ont assisté des personnalités comme Gabriel Fal, Président de CGF Bourse et Pierre Goudiaby Atéla, PCA de la BRVM.
A cette cagnotte qui selon, Mme Marie Odile Sène Kantoussan, ne prend pas en compte les dividendes distribués, à travers les 45 sociétés cotées sur la Bourse, pour un montant global de 101 milliards de F Cfa sur la même année.
Ce qui lui fait dire qu’au-delà des possibilités de lever des ressources longues pour financer des investissements, le marché financier offre de réelles opportunités en termes de rémunération de l’épargne et de diversification des placements.
Au titre des émissions, a-t-elle poursuivi, un montant global de 1 398,245 milliards de F Cfa a été levé en 2017 sur le marché financier de l’UEMOA.
Les entreprises hésitent toujours
Le marché financier régional respire la bonne santé. Malgré les efforts consentis pour sa promotion aussi bien par les autorités du marché que par les intermédiaires commerciaux, il est noté que les entreprises, publiques comme privés, hésitent encore à s’adresser à ce marché pour financer leurs investissements.
Et pourtant, souligne Mme Kantoussan, un potentiel d’épargne de près de 500 milliards de F Cfa est disponible dans la sous-région chaque année et ne demande qu’à être mobilisé, sans compter les investisseurs étrangers qui s’intéressent de plus en plus au marché compte tenu des niveaux de rémunérations offerts.
Elle a ainsi rappelé que depuis son démarrage en 1998, jusqu’en fin 2017, le marché financier régional a permis de mobiliser plus de 5 573 milliards de F Cfa, rien que sur le segment des émissions obligataires.
Avant de se désoler du fait qu’il s’avère que les sociétés locales n’en profitent pas assez et devraient s’intéresser davantage à ce mode de financement, à l’image de Senelec, qui offre de réels avantages en termes de mobilisation de ressources longues et de maitrise de plans de financement des investissements.
Djibril Dieng
A cette cagnotte qui selon, Mme Marie Odile Sène Kantoussan, ne prend pas en compte les dividendes distribués, à travers les 45 sociétés cotées sur la Bourse, pour un montant global de 101 milliards de F Cfa sur la même année.
Ce qui lui fait dire qu’au-delà des possibilités de lever des ressources longues pour financer des investissements, le marché financier offre de réelles opportunités en termes de rémunération de l’épargne et de diversification des placements.
Au titre des émissions, a-t-elle poursuivi, un montant global de 1 398,245 milliards de F Cfa a été levé en 2017 sur le marché financier de l’UEMOA.
Les entreprises hésitent toujours
Le marché financier régional respire la bonne santé. Malgré les efforts consentis pour sa promotion aussi bien par les autorités du marché que par les intermédiaires commerciaux, il est noté que les entreprises, publiques comme privés, hésitent encore à s’adresser à ce marché pour financer leurs investissements.
Et pourtant, souligne Mme Kantoussan, un potentiel d’épargne de près de 500 milliards de F Cfa est disponible dans la sous-région chaque année et ne demande qu’à être mobilisé, sans compter les investisseurs étrangers qui s’intéressent de plus en plus au marché compte tenu des niveaux de rémunérations offerts.
Elle a ainsi rappelé que depuis son démarrage en 1998, jusqu’en fin 2017, le marché financier régional a permis de mobiliser plus de 5 573 milliards de F Cfa, rien que sur le segment des émissions obligataires.
Avant de se désoler du fait qu’il s’avère que les sociétés locales n’en profitent pas assez et devraient s’intéresser davantage à ce mode de financement, à l’image de Senelec, qui offre de réels avantages en termes de mobilisation de ressources longues et de maitrise de plans de financement des investissements.
Djibril Dieng