© UNICEF/Amminadab Jean Filomena, 8ans, née avec une tétraplégie spasmodique et une épilepsie, et sa mère colorient des dessins au centre de réadaptation psychosociale de Maputo, au Mozambique. (8 octobre 2018)
« Je reviens tout juste d’une mission en République démocratique du Congo avec le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, pour faire le point sur la riposte à la flambée de maladie à virus Ebola. J’ai pu constater une nouvelle fois qu’Ebola n’est que le symptôme d’un problème plus profond : quand les gens n’ont pas accès aux services de santé, ou quand ces services sont de mauvaise qualité ou ne répondent à leurs besoins, les maladies peuvent se propager et faire des victimes », a déclaré le Dr Tedros dans un communiqué.
Selon lui, c’est la raison pour laquelle la réunion de haut niveau le 23 septembre prochain est si importante. « C’est une occasion historique pour les dirigeants du monde de faire en sorte que personne ne soit privé des services de santé dont il a besoin simplement parce qu’ils ne sont pas accessibles ou parce qu’ils dépassent ses moyens », a-t-il souligné.
En 2015, les dirigeants mondiaux se sont engagés à instaurer la CSU au plus tard en 2030 au titre des objectifs de développement durable (ODD). Dans les semaines qui précèderont l’Assemblée générale, l’OMS et ses partenaires publieront la dernière version du rapport mondial de suivi sur la CSU, d’où il ressort que les progrès sont trop lents pour atteindre cette cible. Beaucoup trop de gens n’ont toujours pas accès aux services de santé essentiels ou sombrent dans l’extrême pauvreté parce que ces services coûtent trop cher.
« En ce mois de septembre, tous les pays signeront une déclaration sur la santé d’une ampleur sans précédent », a souligné le chef de l’OMS. « Concrètement, les pays s’engageront à investir dans quatre grands domaines : des mécanismes de financement résistants, des services à fort impact, un personnel de santé solide, une gouvernance et des capacités institutionnelles renforcées ».
« Mon message à la réunion de haut niveau sera clair : la CSU est un choix politique. J’appelle tous les dirigeants à faire ce choix, tout d’abord en participant en personne à la réunion et en contribuant à en faire un succès. Chacun peut défendre #Lasantépourtous (#HealthForAll) en signant cette pétition », a-t-il ajouté.
Selon le chef de l’OMS, la CSU est aussi un choix économique avisé. Les pays qui investissent dans la santé créent une base propice à des gains de productivité et à la croissance économique.
L’OMS est résolue à seconder les pays sur le chemin de la CSU en leur fournissant un appui stratégique et une assistance technique, a-t-il conclu.
Un.org
Selon lui, c’est la raison pour laquelle la réunion de haut niveau le 23 septembre prochain est si importante. « C’est une occasion historique pour les dirigeants du monde de faire en sorte que personne ne soit privé des services de santé dont il a besoin simplement parce qu’ils ne sont pas accessibles ou parce qu’ils dépassent ses moyens », a-t-il souligné.
En 2015, les dirigeants mondiaux se sont engagés à instaurer la CSU au plus tard en 2030 au titre des objectifs de développement durable (ODD). Dans les semaines qui précèderont l’Assemblée générale, l’OMS et ses partenaires publieront la dernière version du rapport mondial de suivi sur la CSU, d’où il ressort que les progrès sont trop lents pour atteindre cette cible. Beaucoup trop de gens n’ont toujours pas accès aux services de santé essentiels ou sombrent dans l’extrême pauvreté parce que ces services coûtent trop cher.
« En ce mois de septembre, tous les pays signeront une déclaration sur la santé d’une ampleur sans précédent », a souligné le chef de l’OMS. « Concrètement, les pays s’engageront à investir dans quatre grands domaines : des mécanismes de financement résistants, des services à fort impact, un personnel de santé solide, une gouvernance et des capacités institutionnelles renforcées ».
« Mon message à la réunion de haut niveau sera clair : la CSU est un choix politique. J’appelle tous les dirigeants à faire ce choix, tout d’abord en participant en personne à la réunion et en contribuant à en faire un succès. Chacun peut défendre #Lasantépourtous (#HealthForAll) en signant cette pétition », a-t-il ajouté.
Selon le chef de l’OMS, la CSU est aussi un choix économique avisé. Les pays qui investissent dans la santé créent une base propice à des gains de productivité et à la croissance économique.
L’OMS est résolue à seconder les pays sur le chemin de la CSU en leur fournissant un appui stratégique et une assistance technique, a-t-il conclu.
Un.org