C’est aussi un segment résilient, reconnaissent les professionnels du moment que, les voyageurs d’affaires, quelques soit la situation politique ou sécuritaire du pays, se déplacent.
C’est seulement le tourisme de loisir qui est beaucoup plus frileux à l’exemple de ce qui s’est passé en Tunisie après les attentats à Sousse.
Le Groupe Azalaï hôtel qui est dans ce segment ne compte pas baisser les armes face à une concurrence sans pitié.
Dans les coulisses du forum international des MEDays qui s’est tenue du 8 au 11 novembre 2017 à Tanger, Maroc, le président directeur général de ce groupe hôtelier affirme à la presse qu’Azalaï continue à se développer. « Nous sommes déjà présents sur sept pays et nous allons ouvrir quatre autres établissements d’ici 2020 ».
Avec l’extension de ses activités dans la sous-région, malgré les attentats de Bamako (Mali), Ouagadougou (Burkina Faso) et Grand Bassam (Côte d’Ivoire), Azalaï va ainsi passer à 2000 chambres. « Nous continuons à investir dans ce segment du tourisme d’affaires », assure M. Mossadeck Bally.
Revendiquant son statut d’investisseur africain engagé, le CEO d’Azalaï estime que « nous sommes résilients et nous continuons à faire face à cette compétition des grandes chaines internationales parce que nous sommes une chaine hôtelière africaine ».
A en croire M. Bally, son groupe hôtelier essaye de développer l’hospitalité africaine qui est un gros atout pour nous avec des compétences africaines.
« 70% de notre clientèle vient de la sous-région, notamment la partie ouest-africaine qui a trouvé son compte dans les hôtels Azalaï. Vous avez toutes ces grandes chaines qui ouvrent mais nous on garde cas-même notre clientèle ».
Karim Togala
C’est seulement le tourisme de loisir qui est beaucoup plus frileux à l’exemple de ce qui s’est passé en Tunisie après les attentats à Sousse.
Le Groupe Azalaï hôtel qui est dans ce segment ne compte pas baisser les armes face à une concurrence sans pitié.
Dans les coulisses du forum international des MEDays qui s’est tenue du 8 au 11 novembre 2017 à Tanger, Maroc, le président directeur général de ce groupe hôtelier affirme à la presse qu’Azalaï continue à se développer. « Nous sommes déjà présents sur sept pays et nous allons ouvrir quatre autres établissements d’ici 2020 ».
Avec l’extension de ses activités dans la sous-région, malgré les attentats de Bamako (Mali), Ouagadougou (Burkina Faso) et Grand Bassam (Côte d’Ivoire), Azalaï va ainsi passer à 2000 chambres. « Nous continuons à investir dans ce segment du tourisme d’affaires », assure M. Mossadeck Bally.
Revendiquant son statut d’investisseur africain engagé, le CEO d’Azalaï estime que « nous sommes résilients et nous continuons à faire face à cette compétition des grandes chaines internationales parce que nous sommes une chaine hôtelière africaine ».
A en croire M. Bally, son groupe hôtelier essaye de développer l’hospitalité africaine qui est un gros atout pour nous avec des compétences africaines.
« 70% de notre clientèle vient de la sous-région, notamment la partie ouest-africaine qui a trouvé son compte dans les hôtels Azalaï. Vous avez toutes ces grandes chaines qui ouvrent mais nous on garde cas-même notre clientèle ».
Karim Togala