Le Rapport Politique Monétaire dans l’UMOA Juin 2018 qui donne l’information estime que cet état de fait induit une atténuation du déficit global, base engagements, dons compris, qui est ressorti à 317,0 milliards, soit 1,8% du PIB, à fin mars 2018 contre 343,6 milliards ou 2,2% du PIB à la même période de l'année précédente.
Le même document fait savoir que les recettes budgétaires des Etats membres de l'Union se sont élevées à 3.062,5 milliards en mars 2018 contre 2.789,7 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 9,8%.
A l’en croire, cette progression résulte d'une augmentation de 10,4% des recettes fiscales qui se situent à 2.596,2 milliards. Avant de préciser que les dons budgétaires, estimés à fin mars 2018 à 193,3 milliards, ont enregistré une progression de 13,1% par rapport au premier trimestre 2017.
Sur ce même ordre d’idée, les dépenses et prêts nets ont augmenté de 7,9%, en passant de 3.133,3 milliards à fin mars 2017 à 3.379,4 milliards à fin mars 2018, sous l'effet de la hausse simultanée des dépenses en capital (11,3%) et des dépenses courantes (+8,0%).
L'évolution des dépenses en capital est liée à la poursuite de l'exécution des investissements publics, notamment dans le domaine des infrastructures.
Globalement, poursuit la même source, le niveau des dépenses en capital est ressorti à 1.071,6 milliards à fin mars 2018 contre 962,7 milliards à la même période de l'année précédente.
Le Rapport Politique Monétaire dans l’UMOA Juin 2018 informe, par ailleurs, que l'accroissement des dépenses courantes est porté par les dépenses de personnel (+6,0%) et les paiements d'intérêts sur la dette (+28,9%).
Le déficit budgétaire global, base caisse, dons compris, poursuit-il, s'est chiffré à 156,3 milliards à fin mars 2018 contre 487,3 milliards à la même période de l'année précédente.
Mariama Diallo
Le même document fait savoir que les recettes budgétaires des Etats membres de l'Union se sont élevées à 3.062,5 milliards en mars 2018 contre 2.789,7 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 9,8%.
A l’en croire, cette progression résulte d'une augmentation de 10,4% des recettes fiscales qui se situent à 2.596,2 milliards. Avant de préciser que les dons budgétaires, estimés à fin mars 2018 à 193,3 milliards, ont enregistré une progression de 13,1% par rapport au premier trimestre 2017.
Sur ce même ordre d’idée, les dépenses et prêts nets ont augmenté de 7,9%, en passant de 3.133,3 milliards à fin mars 2017 à 3.379,4 milliards à fin mars 2018, sous l'effet de la hausse simultanée des dépenses en capital (11,3%) et des dépenses courantes (+8,0%).
L'évolution des dépenses en capital est liée à la poursuite de l'exécution des investissements publics, notamment dans le domaine des infrastructures.
Globalement, poursuit la même source, le niveau des dépenses en capital est ressorti à 1.071,6 milliards à fin mars 2018 contre 962,7 milliards à la même période de l'année précédente.
Le Rapport Politique Monétaire dans l’UMOA Juin 2018 informe, par ailleurs, que l'accroissement des dépenses courantes est porté par les dépenses de personnel (+6,0%) et les paiements d'intérêts sur la dette (+28,9%).
Le déficit budgétaire global, base caisse, dons compris, poursuit-il, s'est chiffré à 156,3 milliards à fin mars 2018 contre 487,3 milliards à la même période de l'année précédente.
Mariama Diallo