A l'heure actuelle, seulement 50% des femmes en âge de travailler font partie de la population active, contre 77% des hommes. En outre, les femmes, quand elles travaillent, ont tendance à se concentrer dans l'emploi informel et précaire. Elles sont payées en moyenne 23% de moins que les hommes et accomplissent au moins deux fois et demi plus de tâches ménagères et de soins de santé non rémunérés.
« Ceci n'est pas seulement préjudiciable aux femmes, mais représente une perte pour la société dans son ensemble », a déclaré M. Guterres dans un discours lors de cette réunion à laquelle participaient également les deux co-présidents du Groupe de haut niveau sur l'autonomisation économique des femmes, le Président du Costa Rica, Luis Guillermo Solis, et la PDG d'IKEA Suisse, Simona Scarpaleggia.
« Les études montrent que, si les femmes pouvaient participer de manière égale à l'économie, le PIB mondial pourrait augmenter de 26% - l'équivalent de 12.000 milliards de dollars - d'ici à 2025 », a dit le Secrétaire général. « L'autonomisation économique des femmes contribue à des économies plus stables et résilientes et à des sociétés plus pacifiques ».
« C'est aussi une condition nécessaire à la réalisation des objectifs de développement durable », a-t-il ajouté, en référence au Programme de développement durable à l'horizon 2030 adopté par les Etats membres des Nations Unies en 2015.
Le chef de l'ONU a rappelé que le Groupe de haut niveau a élaboré des recommandations concrètes et pratiques pour les gouvernements, le secteur privé, les institutions multilatérales et d'autres parties prenantes afin d'assurer une participation pleine et égale des femmes à l'économie.
« Aujourd'hui, je demande à tous de traduire les conseils du Groupe de haut niveau en actions qui apporteront des résultats aux femmes et aux filles », a dit M. Guterres, qui a salué toutes les parties prenantes qui ont déjà pris des engagements concrets pour mettre en œuvre les recommandations du Groupe.
« Il est temps de prendre des mesures concrètes pour réaliser notre vision commune de l'égalité des sexes et des droits des femmes dans l'économie », a-t-il conclu.
Un.org
« Ceci n'est pas seulement préjudiciable aux femmes, mais représente une perte pour la société dans son ensemble », a déclaré M. Guterres dans un discours lors de cette réunion à laquelle participaient également les deux co-présidents du Groupe de haut niveau sur l'autonomisation économique des femmes, le Président du Costa Rica, Luis Guillermo Solis, et la PDG d'IKEA Suisse, Simona Scarpaleggia.
« Les études montrent que, si les femmes pouvaient participer de manière égale à l'économie, le PIB mondial pourrait augmenter de 26% - l'équivalent de 12.000 milliards de dollars - d'ici à 2025 », a dit le Secrétaire général. « L'autonomisation économique des femmes contribue à des économies plus stables et résilientes et à des sociétés plus pacifiques ».
« C'est aussi une condition nécessaire à la réalisation des objectifs de développement durable », a-t-il ajouté, en référence au Programme de développement durable à l'horizon 2030 adopté par les Etats membres des Nations Unies en 2015.
Le chef de l'ONU a rappelé que le Groupe de haut niveau a élaboré des recommandations concrètes et pratiques pour les gouvernements, le secteur privé, les institutions multilatérales et d'autres parties prenantes afin d'assurer une participation pleine et égale des femmes à l'économie.
« Aujourd'hui, je demande à tous de traduire les conseils du Groupe de haut niveau en actions qui apporteront des résultats aux femmes et aux filles », a dit M. Guterres, qui a salué toutes les parties prenantes qui ont déjà pris des engagements concrets pour mettre en œuvre les recommandations du Groupe.
« Il est temps de prendre des mesures concrètes pour réaliser notre vision commune de l'égalité des sexes et des droits des femmes dans l'économie », a-t-il conclu.
Un.org