L'accord, qualifié de « capital », a été annoncé par les gouvernements du Kenya et d'Afrique du Sud, avec le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) et plusieurs ONG.
Il rend le traitement du VIH plus abordable pour les gouvernements des pays en voie de développement et devrait faciliter l'accession au traitement pour plus de 36,7 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde.
« Cet accord améliorera la qualité de vie de millions de personnes vivant avec le VIH », a déclaré le Directeur exécutif de l'ONUSIDA, Michel Sidibé, qui rappelle que pour progresser dans l'éradication de la maladie, « des options de traitement plus récentes, abordables et efficaces doivent être mises à disposition - de Baltimore à Bamako - sans délai ».
Le traitement consiste à prendre une pilule par jour contenant notamment du dolutegravir (DTG), un inhibiteur d'intégrase du VIH.
Le DTG est déjà beaucoup utilisé dans les pays développés pour traiter les personnes séropositives. Il est considéré par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) comme un médicament de première qualité.
Pour le Ministre sud-africain Aaron Motsoaledi, les réductions considérables de prix pourraient générer « des économies allant jusqu'à 900 millions de dollars au cours des six prochaines années », ce qui signifie que le pays pourra traiter plus de patients avec la même quantité d'argent et « contrôler l'épidémie plus rapidement ».
On estime qu'en 2016, à peine plus de la moitié des personnes vivant avec le VIH dans le monde ont eu accès à des soins.
Lors d'une autre conférence de presse dédiée à son programme "Fast-Track", l'ONUSIDA s'est réjoui que le nombre de décès liés au sida ait été réduit de près de la moitié depuis 2005, et que le nombre de nouvelles infections au plan mondial a baissé de 11% depuis 2010. Elle a néanmoins appelé à redoubler d'efforts.
L'objectif d'ONUSIDA est que le sida ne soit plus une menace globale pour la santé publique d'ici à 2030.
Un.org
Il rend le traitement du VIH plus abordable pour les gouvernements des pays en voie de développement et devrait faciliter l'accession au traitement pour plus de 36,7 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde.
« Cet accord améliorera la qualité de vie de millions de personnes vivant avec le VIH », a déclaré le Directeur exécutif de l'ONUSIDA, Michel Sidibé, qui rappelle que pour progresser dans l'éradication de la maladie, « des options de traitement plus récentes, abordables et efficaces doivent être mises à disposition - de Baltimore à Bamako - sans délai ».
Le traitement consiste à prendre une pilule par jour contenant notamment du dolutegravir (DTG), un inhibiteur d'intégrase du VIH.
Le DTG est déjà beaucoup utilisé dans les pays développés pour traiter les personnes séropositives. Il est considéré par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) comme un médicament de première qualité.
Pour le Ministre sud-africain Aaron Motsoaledi, les réductions considérables de prix pourraient générer « des économies allant jusqu'à 900 millions de dollars au cours des six prochaines années », ce qui signifie que le pays pourra traiter plus de patients avec la même quantité d'argent et « contrôler l'épidémie plus rapidement ».
On estime qu'en 2016, à peine plus de la moitié des personnes vivant avec le VIH dans le monde ont eu accès à des soins.
Lors d'une autre conférence de presse dédiée à son programme "Fast-Track", l'ONUSIDA s'est réjoui que le nombre de décès liés au sida ait été réduit de près de la moitié depuis 2005, et que le nombre de nouvelles infections au plan mondial a baissé de 11% depuis 2010. Elle a néanmoins appelé à redoubler d'efforts.
L'objectif d'ONUSIDA est que le sida ne soit plus une menace globale pour la santé publique d'ici à 2030.
Un.org