Selon un communiqué, le sondage révèle qu’en dépit de conditions de sortie de difficiles en 2017 sur les principaux marchés africains, duesà l’incertitude politique au Kenya, à un environnement économique défavorable en Afrique du Sud et aux problèmesmonétaires au Nigeria, les sociétés de capital-investissement ont réalisé des rendements financiers supérieursà ceuxdes marchés publics qui figurent dans le MSCI Emerging Markets Investable Markets Index.
Enitan Obasanjo-Adeleye, directrice de la recherche de l’AVCA, a commenté ces résultats en spécifiant que «le niveau de surperformance du capital-investissement était le plusélevé en Afrique du Nord (99%)et en Afrique Australe (88%), en excluant l’Afrique du Sud (79%)».
Le rapport montre que les sorties dans les entreprises du secteur industriel ont augmenté au cours des deux dernières années. Les sorties dans les entreprises du secteur des services publics ont égalementaugmenté, principalement en raison des sorties de projets/d’entreprises d’énergie renouvelable.
Graham Stokoe, responsable du capital-investissement africain chez EY explique : «une augmentation de la durée de holdingà 7,7 ans et 6,5 ans pour les sorties ayant eu lieu en 2016 et 2017, respectivement, confirme notre avis que les sociétés de capital-investissement en Afrique sont disposées à conserver leurs investissements dans des sociétés de portefeuille plus longtemps que sur les marchés développés. Un certain nombre de sorties en 2016-2017 concernait également des investissements effectués durant la période de pointe de 2005-2008. Cecidémontre que les sociétés de capital-investissement ont su gérer ces entreprises en portefeuille au cours d’une période difficile pour ensuite accomplir des sorties robustes avec des rendements financiers favorables. »
Les devises des principaux marchés africains ont eu un impact négatif sur les rendements du capital-investissement au cours des dernièresannées. Néanmoins, les entreprises de capital-investissement ont été enmesure de fournir des bons volumes de sortie et de bonnes performances au cours des deux dernièresannées.
Ceci est probablement dû au montant des capitaux levés par les sociétés de capital-investissement entre 2014 et 2016, qui doitmaintenant être investi. Les corporates semblent au contraire avoir été moins actifs en 2017. La surperformance financière du PE est une preuve du pouvoir des fonds propres positifs. Les entreprises de capital-investissement ont aidé les entreprises africaines à croitre plus rapidement que les entreprises publiques.
Pathé TOURE
Enitan Obasanjo-Adeleye, directrice de la recherche de l’AVCA, a commenté ces résultats en spécifiant que «le niveau de surperformance du capital-investissement était le plusélevé en Afrique du Nord (99%)et en Afrique Australe (88%), en excluant l’Afrique du Sud (79%)».
Le rapport montre que les sorties dans les entreprises du secteur industriel ont augmenté au cours des deux dernières années. Les sorties dans les entreprises du secteur des services publics ont égalementaugmenté, principalement en raison des sorties de projets/d’entreprises d’énergie renouvelable.
Graham Stokoe, responsable du capital-investissement africain chez EY explique : «une augmentation de la durée de holdingà 7,7 ans et 6,5 ans pour les sorties ayant eu lieu en 2016 et 2017, respectivement, confirme notre avis que les sociétés de capital-investissement en Afrique sont disposées à conserver leurs investissements dans des sociétés de portefeuille plus longtemps que sur les marchés développés. Un certain nombre de sorties en 2016-2017 concernait également des investissements effectués durant la période de pointe de 2005-2008. Cecidémontre que les sociétés de capital-investissement ont su gérer ces entreprises en portefeuille au cours d’une période difficile pour ensuite accomplir des sorties robustes avec des rendements financiers favorables. »
Les devises des principaux marchés africains ont eu un impact négatif sur les rendements du capital-investissement au cours des dernièresannées. Néanmoins, les entreprises de capital-investissement ont été enmesure de fournir des bons volumes de sortie et de bonnes performances au cours des deux dernièresannées.
Ceci est probablement dû au montant des capitaux levés par les sociétés de capital-investissement entre 2014 et 2016, qui doitmaintenant être investi. Les corporates semblent au contraire avoir été moins actifs en 2017. La surperformance financière du PE est une preuve du pouvoir des fonds propres positifs. Les entreprises de capital-investissement ont aidé les entreprises africaines à croitre plus rapidement que les entreprises publiques.
Pathé TOURE