Pour Mohamed Macky Ba, cette conférence de presse, a pour but de définir les critères de financement des projets dédiés aux jeunes arabophones. Selon lui, 50 plans d’affaires sont déjà élaborés, plus de 130 sont en phase d’élaboration. Ce projet selon lui, est l’aboutissement d’un long processus qui a commencé depuis 2011, avec la signature d’une convention de partenariat entre l’APEJ et son association.
A travers cette convention, des jeunes diplômés formés en langue Arabe ont été placés en stage de formation professionnelle. De même, une soixantaine de plans d’affaires ont été transmis à l’APEJ pour financement.
Parlant du critère, il fera savoir que l’âge requis pour les bénéficiaires arabophones est de 21 à 40 ans, et que le financement est un prêt remboursable par mois ou par trimestre et le montant ne doit pas dépasser un million.
Pour le représentant de Nyogondémé, cette ligne de crédit en faveur des jeunes arabophones est le fruit d’un long processus d’échanges et de dialogue social engagé entre APEJ à travers son département et l’Union des jeunes musulmans. Cette initiative vise à réaliser une meilleure insertion socioprofessionnelle et économique des jeunes arabophones diplômés et non diplômés qui ont été par moments, défavorisés par certains dispositifs d’insertion, notamment dans la Fonction publique et les programmes de renforcement de l’employabilité de l’APEJ.
Flani SORA
A travers cette convention, des jeunes diplômés formés en langue Arabe ont été placés en stage de formation professionnelle. De même, une soixantaine de plans d’affaires ont été transmis à l’APEJ pour financement.
Parlant du critère, il fera savoir que l’âge requis pour les bénéficiaires arabophones est de 21 à 40 ans, et que le financement est un prêt remboursable par mois ou par trimestre et le montant ne doit pas dépasser un million.
Pour le représentant de Nyogondémé, cette ligne de crédit en faveur des jeunes arabophones est le fruit d’un long processus d’échanges et de dialogue social engagé entre APEJ à travers son département et l’Union des jeunes musulmans. Cette initiative vise à réaliser une meilleure insertion socioprofessionnelle et économique des jeunes arabophones diplômés et non diplômés qui ont été par moments, défavorisés par certains dispositifs d’insertion, notamment dans la Fonction publique et les programmes de renforcement de l’employabilité de l’APEJ.
Flani SORA