«Le taux global de pénétration géographique des services financiers a également connu une augmentation, passant de 47 points de services sur 1.000 km2 en 2016 à 70 points de services sur 1.000 km2 en 2017 .Cette situation s’explique également par les évolutions enregistrées au niveau des réseaux de distribution des services de monnaie électronique », lit-on dans le rapport.
Selon la Bceao, l’analyse par pays fait ressortir une disparité géographique dans la disponibilité des points de services financiers. Le Bénin, avec 371 points de services sur 1.000 km2 en 2017, enregistre le taux le plus élevé de l’Union. Il est suivi du Togo et du Sénégal, dont la répartition géographique des points d’accès ressort respectivement à 265 et 206 points de services financiers sur 1.000 km2. Le Niger, avec 17 points de services financiers sur 1.000 km2, affiche une faible performance à ce niveau.
«Globalement, les résultats obtenus laissent apparaître que les efforts consentis par les institutions financières dans le déploiement des points de services financiers se sont poursuivis en 2017 dans la plupart des pays de l’UEMOA. La question qui demeure est de savoir, dans quelle mesure le renforcement de l’offre, matérialisé par l’amélioration de l’accessibilité physique des services financiers, s’est traduit par un accroissement de l’utilisation de ces services par les populations », renseigne la même source.
Adou FAYE
Selon la Bceao, l’analyse par pays fait ressortir une disparité géographique dans la disponibilité des points de services financiers. Le Bénin, avec 371 points de services sur 1.000 km2 en 2017, enregistre le taux le plus élevé de l’Union. Il est suivi du Togo et du Sénégal, dont la répartition géographique des points d’accès ressort respectivement à 265 et 206 points de services financiers sur 1.000 km2. Le Niger, avec 17 points de services financiers sur 1.000 km2, affiche une faible performance à ce niveau.
«Globalement, les résultats obtenus laissent apparaître que les efforts consentis par les institutions financières dans le déploiement des points de services financiers se sont poursuivis en 2017 dans la plupart des pays de l’UEMOA. La question qui demeure est de savoir, dans quelle mesure le renforcement de l’offre, matérialisé par l’amélioration de l’accessibilité physique des services financiers, s’est traduit par un accroissement de l’utilisation de ces services par les populations », renseigne la même source.
Adou FAYE